samedi 27 janvier 2018

SPARRING


Drame/Un film touchant et très bien interprété qui nous montre un nouvel aspect de la boxe

Réalisé par Samuel Jouy
Avec Mathieu Kassovitz, Olivia Merilahti, Souleymane M'Baye, Billie Blain, Lyes Salem, Tomy Leconte, Ali Labidi, David Saracino... 

Long-métrage Français
Durée: 01h34mn
Année de production: 2017
Distributeur: EuropaCorp Distribution

Date de sortie sur nos écrans : 31 janvier 2018


Résumé : A plus de 40 ans, Steve Landry est un boxeur qui a perdu plus de combats qu’il n’en a gagnés. Avant de raccrocher les gants, il accepte une offre que beaucoup de boxeurs préfèrent refuser : devenir sparring partner d’un grand champion.

Bande annonce (VF)


Introduction

J'ai assisté à la projection de ce film dans le cadre du premier ciné-club organisé par de @_LeBonbon. Le réalisateur Samuel Jouy, accompagné des acteurs Mathieu Kassovitz, Olivia Merilahti, Souleymane M'Baye, et Ali Labidi ont eu la gentillesse de venir avant le début du film pour nous dire un petit mot que vous pouvez découvrir dans la vidéo ci-dessous :


Ce que j'en ai penséle SPARRING de Samuel Jouy est une belle surprise. Il aborde le milieu de la boxe sous un angle inattendu, celui des perdants. Il nous fait rentrer dans le quotidien de Steve Landry, un boxeur looser très attendrissant, superbement interprété par Mathieu Kassovitz. 


Le réalisateur nous montre les difficultés financières de Steve de façon délicate et surtout, on sent combien son incapacité à tout offrir à sa famille pèse sur le personnage, ce qui est très touchant. Ce film parle de courage. Celui de ne pas abandonner, même contre toute logique, poussé par une passion qui peut s’avérer dangereuse, mais qui fait partie de soi. 

Les ressorts de l’histoire peuvent sembler classiques, mais dans la façon dont Samuel Jouy choisit de les montrer (ou non), ils ne le sont finalement pas tant que ça. Les écarts entre l’univers de ceux qui ne gagne pas et de ceux qui réussissent dans ce milieu est efficacement montré. Il y a beaucoup de générosité et de tendresse dans cette histoire qui met en avant la famille, ce qui contrebalance parfaitement bien la violence de la boxe, et pas seulement celle qu’on voit sur le ring. 

Les seconds rôles sont, eux aussi, tout à fait convaincants. Olivia Merilahti interprète Marion Landry, elle est très crédible dans sa façon de montrer son inquiétude pour son mari. 


La jeune Billie Blain est criante de vérité dans le rôle d’Aurore Landry, une petite fille qui adore son père et cherche à entrer dans son monde pour se rapprocher de lui. 


Souleymane M'Baye est un boxeur dans la vie et son interprétation de Tarek M'Bareck, un champion de boxe, est très juste, ce qui est important, car ce rôle représente ce que Landry aurait pu être et rend le contraste encore plus frappant. Ali Labidi interprète le très sympathique Ali, un gars à la philosophie implacable et drôle. On ne peut également pas s'empêcher d'avoir un petit pincement au cœur en voyant Yves Afonso, qui nous a quitté, dans son dernier rôle, celui d'un entraîneur attachant. 

SPARRING est un film qui ne s’adresse pas qu’aux amoureux de la boxe. Il aborde des sujets qui parlent à tous. Il le fait intelligemment et avec sensibilité. Je vous le conseille pour sa réalisation, ses thématiques et ses acteurs.

Photos Copyright 2017 EuropaCorp. All rights reserved.

  
#SPARRING

vendredi 26 janvier 2018

DANS LA BRUME

DANS LA BRUME

Au cinéma le 4 avril 2018

Cette bande annonce nous donne envie de savoir comment les personnages vont réussir à affronter cette périlleuse situation et comment le scénario va nous mener vers la conclusion de cet évènement.

Un film de Daniel Roby 
Avec Romain Duris et Olga Kurylenko


Résumé : Le jour où une étrange brume mortelle submerge Paris, des survivants trouvent refuge dans les derniers étages des immeubles et sur les toits de la capitale.

Sans informations, sans électricité, sans eau ni nourriture, une petite famille tente de survivre à cette catastrophe… Mais les heures passent et un constat s’impose : les secours ne viendront pas et il faudra, pour espérer s’en sortir, tenter sa chance dans la brume…

Bande annonce (VF)


  
#DansLaBrume

jeudi 25 janvier 2018

OH LUCY !



Comédie dramatique/Un film sensible qui nous fait voyager entre le Japon et les Etats-Unis

Réalisé par Atsuko Hirayanagi
Avec Shinobu Terajima, Josh Hartnett, Koji Yakusho, Shioli Kutsuna, Megan Mullally, Reiko Aylesworth, Kaho Minami, Liz Bolton...

Long-métrage Japonais/Américain
Durée: 01h35mn
Année de production: 2017
Distributeur: Nour Films 

Date de sortie sur nos écrans : 31 janvier 2018


Résumé : Setsuko mène une vie solitaire et sans saveur à Tokyo entre son travail et son appartement, jusqu’à ce que sa nièce Mika la persuade de prendre sa place à des cours d’anglais très singuliers. Cette expérience agit comme un électrochoc sur Setsuko. Affublée d’une perruque blonde, elle s’appelle désormais Lucy et s’éprend de John son professeur ! Alors, quand Mika et John disparaissent, Setsuko envoie tout balader et embarque sa sœur, dans une quête qui les mène de Tokyo au sud californien. La folle virée des deux sœurs, qui tourne aux règlements de compte, permettra-t-elle à Setsuko de trouver l’amour ?

Bande annonce (VOSTFR)


Ce que j'en ai penséSetsuko étouffe dans un travail gris qui occupe des journées mornes au milieu de travailleurs fatigués, hypocrites ou dépressifs. Et puis, ce qui pourrait se présenter comme l'opportunité de casser sa triste routine va pousser Setsuko a écouter son instinct et à tenter de se tourner vers une vie qui lui conviendrait mieux à ses yeux. La réalisatrice, Atsuko Hirayanagi, a une approche sensible des sentiments intérieurs qui secoue son héroïne. Elle nous permet d'entrevoir certains aspects de la culture japonaise avec une belle franchise. Elle nous fait voyager puisqu'elle nous emmène de Tokyo à Los Angeles, grand écart culturel amené sous sa caméra avec simplicité et authenticité. 

La réalisatrice Atsuko Hirayangi
On suit les touchantes aventures de Setsuko entre rire et émotion, car la réalisatrice ne cache pas les imperfections de cette femme, ni sa solitude, ni son désir presque compulsif d'autre chose. Sa quête est décalée dans la façon dont elle guidée par une influence culturelle imposante, mais son ressenti est universel. Nous dévoilant une curieuse tranche de vie ancrée dans le réel, douce-amère, la réalisatrice met en scène les règlements de comptes, les non-dits et le mal-être de ses protagonistes. 

Shinobu Terajima interprète Setsuko. L'actrice est superbe dans sa façon de montrer la rébellion latente et les fêlures de son personnage. Elle est très touchante, car elle est entière et très humaine. 



Josh Hartnett joue de son charme et son affabilité dans le rôle de John. Il permet de rendre crédible l'attitude de Setsuko dès les premiers instants de leur rencontre. 




Kaho Minami interprète Ayako. Elle est très convaincante dans le rôle de la sœur de Setsuko et dans son attitude froide et son jugement permanent. L'actrice sait elle aussi faire transparaître la fragilité de son personnage sous son apparente dureté.



OH LUCY ! est un voyage culturel et émotionnel qui nous est proposé par une réalisatrice sensible qui sait intégrer ce qu'il faut de décalage à des situations réalistes pour nous intriguer et nous entraîner dans cette aventure, parfois amusante, mais surtout touchante. C'est une jolie découverte en somme.

NOTES DE PRODUCTION 
(A ne lire qu'après avoir vu le film pour éviter les spoilers !)

NOTE D’INTENTION

En tant que conteuse, je suis attirée par les plus silencieux, parce qu’ils sont ceux qui ont le plus à dire. J’aime imaginer ce qu’ils feraient s’ils avaient la possibilité de prendre la parole. Quand je suis partie aux Etats-Unis à l’âge de 17 ans dans le cadre d’un échange universitaire, je me suis moi-même transformée en une personne silencieuse. Je ne parlais pas bien anglais et j’ai immédiatement été perçue comme une « fille asiatique tranquille ». Il y avait la façade que les gens voyaient, et puis il y avait le vrai moi qui voulait s’exprimer. Ces deux facettes étaient en lutte constante pour n’être qu’une.  C’est ce thème que j’ai exploré et repris dans le parcours de Setsuko. En tant que mère de deux jeunes enfants, j’ai appris en les observant que le désir d’être entendu est un comportement inné chez nous, les humains. Les enfants agissent et parfois même détruisent les choses lorsqu’ils ne sont pas entendus. Ils veulent une attention particulière, ils essaient de nous dire qu’ils existent. À mesure que nous devenons adultes, nous apprenons à nous contrôler, mais notre besoin d’être entendu ne disparaît jamais. Je pense que notre voix cherche toujours un lieu d’existence. Pour moi, le cinéma est cet endroit, l’endroit où l’on entend notre voix et un lieu qui reconnaît notre existence.
Atsuko Hirayanagi

L’ORIGINE DU FILM

L’idée du film est issue d’un travail universitaire pour lequel on devait écrire sur une personne que l’on connaissait. J’ai choisi la personne de mon entourage qui était la moins encline à inspirer l’héroïne d’un film. Elle semblait cacher ses sentiments réels la plupart du temps et je voulais imaginer ce qui pourrait la déterminer à être sincère dans ses propos. Ensuite, j’ai voulu lui donner un alter ego. C’est l’origine de Lucy. Elle est aussi nourrie de mon expérience personnelle. Le film devait être à l’origine un long-métrage, que j’ai proposé lors de mes études. C’est mon professeur (Boris Frumin), qui est aussi co-scénariste de Oh Lucy!, qui m’a dit que ce devait être un court-métrage. On a donc condensé l’ensemble dans un court de 22 minutes. Mais je voulais explorer ce qui se passe après cette histoire, raconter où ce voyage allait amener ce personnage. Le long-métrage Oh Lucy! n’est donc pas vraiment un étirement du film, c’est une addition d’éléments au film d’origine. Mes films précédents sont des drames et je voulais au début me forcer à faire une vraie comédie, comme un défi. Mais l’histoire elle-même me ramenait au drame. Cela vient sans doute de ma nature profonde. Je crois d’ailleurs que dans la vie en général rien n’est jamais tranché. Quand les choses deviennent trop sérieuses, il y a toujours de la comédie à en extraire. Au Japon, les gens portent souvent des masques en société, afin de vivre en harmonie dans un milieu insulaire restreint. On a aussi besoin d’espace, parfois pour que les masques tombent et que l’équilibre vital se rétablisse. Aux États-Unis, j’ai senti qu’au contraire, on était poussé à se révéler et à exprimer constamment ses besoins et ses sentiments. Je voulais jouer avec ce contraste. De plus, quand on apprend une nouvelle langue, cela influe sur la façon dont on parle et sur la façon de bouger son corps et cela vous fait presque devenir une autre personne.

LE CASTING

J’ai eu beaucoup de chance et un bon timing. Tout s’est vraiment fait par étape. J’ai d’abord réalisé First Time, mon second film d’étude à l’Université de New-York. Le film a remporté le Grand Prix «Short Shorts Film Festival & Asia ». J’ai pu ensuite réaliser mon court-métrage Oh Lucy ! Et comme j’ai remporté le prix NHK-Sundance, j’ai pu actualiser un projet de co-production avec la NHK, qui m’a ouvert des portes pour le casting. C’est grâce à eux que des stars comme Terajima Shinobu ont dit oui, alors que j’étais une réalisatrice complètement inconnue. J’ai d’abord rencontré l’actrice Terajima Shinobu (Setsuko/Lucy). C’est la première à avoir rejoint l’aventure. Terajima Shinobu est formidable. Elle a le jeu dans le sang, elle donne l’impression de le faire aisément et sans effort. Elle vient d’une longue lignée d’acteurs du théâtre Kabuki. Je ne sais pas si c’est à cause des « dramas », mais les acteurs japonais ont tendance à sur-jouer. J’avais vu Shinobu dans d’autres rôles, y compris dans des films indépendants, et je l’ai toujours trouvée très naturelle, comme si elle n’était guidée que par son instinct. Je crois que c’est dans ses gènes. Elle n’en fait pas trop. Je recherchais vraiment quelqu’un comme elle, et quand son nom a été évoqué avec la NHK, je savais qu’elle serait parfaite. C’est la même chose pour Yakusho Koji (Komori/Tom). M. Tsuchiya, le producteur, lui a donné mon scénario après que l’on ait tourné quelques scènes, et c’est ainsi que l’aventure a commencé. Chacune de ses répliques vous traverse le cœur. Ses scènes ne sont pas nombreuses, mais elles laissent toutes une impression très forte. J’étais vraiment bouleversée. J’y pensais encore deux semaines après avoir tourné ses plans. Kaho Minami (Ayako, la sœur de Setsuko) m’a aussi été présentée par la NHK. Elle a lu le scénario et l’a apprécié, comme les autres. Son emploi du temps collait et elle était très enthousiaste à l’idée de rejoindre le cast. En fait, tout le monde a lu le script et vu le court-métrage, sauf Koji, qui ne voulait pas le voir avant le tournage, car il ne voulait pas être influencé. Josh Hartnett a été casté via une agence, UTA. Mais en fait, je l’avais en tête depuis le début. Ce qui m’a attiré chez lui, c’est qu’il a fait une pause en se retirant du métier de comédien pour voyager en quête de spiritualité. J’ai donc demandé à mon agent de le contacter et de lui donner le scénario. Il a rappelé immédiatement. On a parlé 15 minutes et c’était décidé dans la foulée. Je me suis sentie très chanceuse.

LE TRAVAIL AVEC LES ACTEURS

J’aime travailler simplement avec les acteurs. Ce qui est important pour moi, c’est ce qui arrive sur le tournage et savoir s’adapter. Par exemple, dans le scénario, il devait faire très beau à Los Angeles, avec un ciel radieux. Je voulais montrer le contraste avec le temps à Tokyo. Mais il a toujours fait gris quand on a tourné. Je me suis dit que ce devait être comme ça, une sorte de message de l’univers et qu’il fallait travailler avec ce que l’on avait. Du coup, ça ressemblait à un paysage japonais. J’ai dû couper des phrases de dialogue, car quand le personnage arrivait, elle s’extasiait devant le soleil de la Californie. Je travaille donc en suivant le moment, les acteurs, ce qu’ils apportent. C’est cela qui donne forme au film. Je n’ai pas vraiment de méthode : c’est comme si je suivais les acteurs et les circonstances. Je veux vraiment leur laisser un espace de liberté, les laisser suivre leurs instincts. Quand je vois qu’ils ont du mal à dire une réplique par exemple, c’est qu’il y a une bonne raison et je la change, jusqu’à ce qu’ils soient assez confortables avec pour que ça vienne naturellement. On fait des essais. En japonais, on peut parfois dire la même chose de trois façons différentes. On trouve donc la manière qui correspond le mieux à l’acteur. C’est comme ça que je façonne l’histoire.

VIBRATOR

Je n’avais pas vu Vibrator (ndr - de Ryuichi Hiroki – 2003) dans lequel joue Shinobu. C’est le jour avant le tournage de la scène de sexe dans la voiture que Shinobu me dit : «Ça fait bizarre. Il y a une scène vraiment semblable dans Vibrator». Je lui ai demandé pourquoi elle ne m’en avait pas parlé avant! J’ai pensé à changer la scène, mais c’est venu naturellement et j’en suis finalement satisfaite.

LE TOURNAGE

Le tournage s’est déroulé entre novembre et décembre 2016. 21 jours en tout. Il y a eu 2 semaines de pré-production à Tokyo, puis 2 semaines de tournage, et encore 2 semaines de pré- production à LA, suivies de 2 semaines de tournage. On a fait une pause entre les deux.

L’ÉQUIPE DU FILM

J’ai travaillé avec une équipe internationale. La directrice de la photographie, par exemple, Paula Huidobro, est mexicaine, mais elle habite à Los Angeles. Elle est allée à l’American Film Institute. Elle a donc aussi été formée en Amérique. J’avais une équipe complètement différente dans les deux pays, sauf la directrice de la photographie, qui est restée la même.

LES DÉCORS

Pour les décorateurs, il y avait quelqu’un de différent au Japon et aux Etats-Unis. Au Japon, c’est M. Akata qui s’est occupé de tout. Il a été incroyable. Chaque détail comptait pour lui. Je lui ai montré des photos, notamment pour la chambre de Setsuko. J’ai fait des recherches sur des appartements qui ressemblent à des décharges. Même les parties des pièces que la caméra ne filme pas étaient très réalistes.

 
#OhLucy

mercredi 24 janvier 2018

BLACK PANTHER


Au cinéma le 14 février 2018

Si, tout comme moi, vous êtes impatient de découvrir le premier long-métrage MARVEL consacré à ce super-héros, alors voici une bonne nouvelle : les préventes pour les avant-premières publiques sont déjà ouvertes !


OUVERTURE DES PRÉVENTES DÈS CE MATIN

POUR LES AVANT-PREMIÈRES PUBLIQUES

DU MARDI 13 FÉVRIER

Grâce aux préventes, les plus impatients auront la garantie de faire partie des premiers spectateurs au monde à découvrir les aventures de ce super-héros qui a fait sa première apparition sur grand écran dans CAPTAIN AMERICA : CIVIL WAR.

Et pour célébrer ce lancement découvrez un nouveau spot du film (VOSTFR) :



Les préventes sont disponibles sur :

Ainsi que sur les sites internet, les applications mobile et aux caisses des cinémas.

Parallèlement aux préventes, les spectateurs auront toujours l’opportunité d’acheter leurs places auprès de leurs salles de cinéma habituelles, dès lors que le film sera proposé sur les écrans.

 
#BlackPanther

Autre post du blog lié à BLACK PANTHER

LE LABYRINTHE : LE REMÈDE MORTEL


Au cinéma le 7 février 2018

Le dernier volet de cette trilogie sort au cinéma dans deux semaines et je suis curieuse de découvrir comment se termine l'aventure pour ces personnages.

Un film de Wes Ball
Avec Dylan O'Brien, Kaya Scodelario, Thomas Brodie-Sangster, Nathalie Emmanuel, Ki Hong Lee, Rosa Salazar et Dexter Darden


Résumé : Dans ce dernier volet de l’épopée LE LABYRINTHE, Thomas et les Blocards s’engagent dans une ultime mission, plus dangereuse que jamais.

Afin de sauver leurs amis, ils devront pénétrer dans la légendaire et sinueuse Dernière Ville contrôlée par la terrible organisation WICKED. Une cité qui pourrait s’avérer être le plus redoutable des labyrinthes.

Seuls les Blocards qui parviendront à en sortir vivants auront une chance d’obtenir les réponses tant recherchées depuis leur réveil au cœur du Labyrinthe.

Bande annonce (VOSTFR)


Extrait "Dans le Labyrinthe" (VOSTFR)


Quelques photos du film







  
#LeLabyrinthe

mardi 23 janvier 2018

AMERICA



Au cinéma le 14 mars 2018

Ce documentaire m'intéresse car il semble offrir la parole aux concernés afin de mieux nous faire comprendre leur point de vue, qu'on y adhère ou pas. En plus, il nous donnera l'occasion de voir de belles images de paysages américains, ce qui est toujours un plaisir.

Un film de Claus Drexel 


Novembre 2016 : les États-Unis s’apprêtent à élire leur nouveau président. 

AMERICA est une plongée vertigineuse au cœur de l’Arizona, à la rencontre des habitants d’une petite ville traversée par la Route 66, les héritiers cabossés du rêve américain qui nous livrent leurs espoirs et leurs craintes.

Extraordinaire documentaire. On y voit, filmés en Arizona, par un Claus Drexel attentif et, par moments, stupéfait, des électeurs de Donald Trump, quelques semaines avant son élection. La lumière, due à Sylvain Leser, est superbe. Et face à l’objectif défilent des jeunes, des vieux, tous nostalgiques de la grandeur passée de l’Amérique. Et fans d’armes de toutes sortes, qu’ils exhibent avec fierté et soignent comme leurs propres enfants… Le réalisateur avait déjà signé un film sur des sansabri perdus dans un Paris nocturne, indifférent et beau (Au bord du monde). America est plus mordant mais tout aussi tendre. Même si c’est un pays inconnu et effrayant qui surgit soudain devant nous. – Pierre Murat

Bande annonce (VOSTFR)


Quelques photos du documentaire











Copyright Photos @ Sylvian Leser



Copyright Photos @ Gloria Films

  
#AmericaLeFilm