Fantastique/Romance/Une jolie histoire d'amour avec de très belles scènes de comédie musicale
Réalisé par Bill Condon
Avec Emma Watson, Dan Stevens, Luke Evans, Kevin Kline, Josh Gad, Ewan McGregor, Stanley Tucci, Audra McDonald...
Long-métrage Américain
Titre original : Beauty And The Beast
Durée: 02h10mn
Année de production: 2017
Distributeur: The Walt Disney Company France
Date de sortie sur les écrans américains : 17 mars 2017
Date de sortie sur nos écrans : 22 mars 2017
Résumé : Fin du XVIIIè siècle, dans un petit village français. Belle, jeune fille rêveuse et passionnée de littérature, vit avec son père, un vieil inventeur farfelu. S'étant perdu une nuit dans la fôret, ce dernier se réfugie au château de la Bête, qui le jette au cachot. Ne pouvant supporter de voir son père emprisonné, Belle accepte alors de prendre sa place, ignorant que sous le masque du monstre se cache un Prince Charmant tremblant d'amour pour elle, mais victime d'une terrible malédiction.
Bande annonce (VOSTFR)
Extrait « Belle » (VOSTFR)
Extrait « Gaston » - (VOSTFR)
Extrait « Invitation à dîner » - (VOSTFR)
Ce que j'en ai pensé : ce long-métrage s'inspire du dessin animé éponyme sorti en France en 1992. Au niveau du scénario, même s'il a les mêmes petits défauts (Belle n'a jamais froid et met des temps records pour se déplacer d'un endroit à un autre...), il a trois avantages à mes yeux par rapport au dessin animé : il réintègre la rose comme cause des tourments de Belle et de son père, il explique un peu le passé du Prince et de Belle et il assume clairement que LeFou craque pour Gaston.
Le réalisateur, Bill Condon, nous offre de véritables scènes de comédie musicale éclatantes, spectaculaires et enthousiasmantes. Elles sont un vrai plaisir à regarder. La musique et les chansons sont toujours aussi jolies. Les scènes liant les tableaux musicaux sont, elles aussi, tout à fait convaincantes et offrent une continuité dans le style du film. Les décors et les costumes sont réussis et en adéquation avec l'histoire. L'animation des objets est superbe. La preuve en est qu'on en oublie les effets spéciaux et qu'on s'attache à tous ces personnages, d'autant que leurs voix en version originale sont celles d'acteurs célèbres et talentueux qui savent offrir les intonations qu'il faut à leur protagoniste.
Belle, interprétée par Emma Watson, est jeune, jolie et intelligente. Le rôle n'offre cependant pas à l'actrice, au demeurant charmante, d'occasions de sortir des sentiers battus.
La Bête est un personnage touchant qui évolue au fur et à mesure du film. Son rendu est crédible et participe à la magie de l'histoire.
Gaston, interprété par Luke Evans et LeFou interprété par Josh Gad sont un duo efficace dans leur genre. L'un est plein de suffisance et abrite un monstre intérieur, l'autre laisse son attirance pour le premier lui céder tous ses excès.
En terme de conte de fées LA BELLE ET LA BÊTE comblera les rêveurs et les rêveuses de tout âge à la recherche d'une jolie histoire d'amour sur fond de fantastique. La morale sur la beauté intérieure est très appréciable. C'est un très joli divertissement, plein de petits détails très mignons, qui se regarde et s'écoute avec des yeux d'enfant ravi.
Le réalisateur, Bill Condon, nous offre de véritables scènes de comédie musicale éclatantes, spectaculaires et enthousiasmantes. Elles sont un vrai plaisir à regarder. La musique et les chansons sont toujours aussi jolies. Les scènes liant les tableaux musicaux sont, elles aussi, tout à fait convaincantes et offrent une continuité dans le style du film. Les décors et les costumes sont réussis et en adéquation avec l'histoire. L'animation des objets est superbe. La preuve en est qu'on en oublie les effets spéciaux et qu'on s'attache à tous ces personnages, d'autant que leurs voix en version originale sont celles d'acteurs célèbres et talentueux qui savent offrir les intonations qu'il faut à leur protagoniste.
Gaston, interprété par Luke Evans et LeFou interprété par Josh Gad sont un duo efficace dans leur genre. L'un est plein de suffisance et abrite un monstre intérieur, l'autre laisse son attirance pour le premier lui céder tous ses excès.
REPORTAGE : DE L'ANIMATION AU LIVE-ACTION (VOSTFR)
Issu de la tradition orale, le conte classique La Belle et la Bête – et le puissant message qu’il délivre sur la beauté intérieure – trouve ses origines dans la France du XVIIIe siècle. C’est la romancière Gabrielle-Suzanne Barbot de Villeneuve qui, dans La jeune Américaine et les contes marins en 1740, le couchera pour la première fois par écrit. Mais il faudra attendre 17 ans de plus, et la version remaniée, abrégée et rédigée par Jeanne-Marie Leprince de Beaumont dans son livre Le Magasin des enfants, pour que le récit prenne son envol littéraire et devienne la référence que l’on connaît désormais…
Aujourd’hui, ses thèmes restent toujours aussi pertinents et l’histoire continue à fasciner les conteurs, comme en témoignent les innombrables interprétations qui ont vu le jour. Mais celle du grand classique de l’animation Disney en 1991 a particulièrement marqué les esprits…
Lorsque le studio a soumis l’idée à Bill Condon (DREAMGIRLS, les chapitres 4 et 5 de la saga TWILIGHT), le réalisateur a d’abord craint de s’atteler au remake d’une œuvre déjà parfaite. Il explique : « Je considère la version animée de 1991 comme le film parfait. À sa sortie, LA BELLE ET LA BÊTE était révolutionnaire non seulement sur le plan narratif, mais également sur le plan musical, la bande originale composée par Alan Menken et Howard Ashman étant tout simplement incroyable. C’est la raison pour laquelle j’avais au départ quelques réserves. »
Cependant, le cinéaste a très vite réalisé que le temps était venu pour une adaptation du film en prises de vues réelles. Conteur accompli, Bill Condon a rapidement visualisé le potentiel cinématographique de l’histoire. Il explique : « 25 années se sont écoulées depuis la sortie du dessin animé et la technologie nous permet désormais de réaliser en prises de vues réelles ce qui avait été introduit dans le film d’animation. Aujourd’hui, pour la première fois, il est possible de créer des versions photoréalistes d’une tasse de thé qui parle dans un environnement réel. »
Pour le réalisateur, l’attrait de LA BELLE ET LA BÊTE était double : c’était d’abord l’occasion de réaliser un film musical en hommage aux comédies musicales de l’âge d’or hollywoodien, mais aussi de revisiter une histoire qui tient une place particulière dans son cœur et de creuser la psychologie des personnages. Bill Condon possède des connaissances encyclopédiques en matière de comédies musicales et sait mieux que quiconque faire dialoguer histoire et musique, mais il a surtout vu le film comme l’occasion de remettre le genre musical au goût du jour.
UNE HISTOIRE ÉTERNELLE D’INSPIRATION FRANÇAISE
Les villages de Conques, Carennac, Sarlat, Monpazier, Noyers sur Serein… ont inspiré le village fictif de Villeneuve
Issu de la tradition orale, le conte classique La Belle et la Bête trouve ses origines dans la France du XVIIIe siècle. C’est la romancière Gabrielle-Suzanne Barbot de Villeneuve qui, dans La jeune Américaine et les contes marins en 1740, le couchera pour la première fois par écrit. Mais il faudra attendre 17 ans de plus, et la version remaniée, abrégée et rédigée par Jeanne-Marie Leprince de Beaumont dans son livre Le Magasin des enfants, pour que le récit prenne son envol littéraire et devienne la référence que l’on connaît encore aujourd’hui…
Pour cette version « live action » du célèbre film d’animation des studios Disney - qui fête cette année ses 25 ans d’existence - un soin particulier a été apporté pour souligner les origines françaises de l’histoire. Celle-ci se déroulant dans la France du milieu du XVIIIesiècle - et non dans un univers alternatif et sans date précise comme dans nombre de contes de fées – chaque département artistique a veillé à ce que les décors, les accessoires, les costumes, les coiffures et le maquillage soient le plus fidèles possible à la France des années 1740.
L’équipe créative n’a pas cherché à reproduire à l’identique telle ou telle œuvre architecturale, mais a concentré ses efforts sur la vraisemblance et la crédibilité. Œuvre de fiction, LA BELLE ET LA BÊTE « live action » se devait de refléter la réalité de l’époque, mais dans une version sublimée par la magie du cinéma.
C’est ainsi que pour le village fictif de Villeneuve - où vivent Belle et son père, la chef décoratrice Sarah Greenwood et son équipe se sont notamment inspirés de plusieurs villages du sud-ouest de la France, dont Conques, Carennac, Sarlat, Monpazier… mais aussi de Noyers sur Serein, en Bourgogne. Pour cet immense décor construit sur le backlot des studios de Shepperton à Londres, peintres, charpentiers et menuisiers ont reconstitué la maison de Belle, une école, un tailleur, une taverne, une église et la place du village.
Ce souci de vraisemblance, l’équipe artistique l’a également eu pour le château de la Bête. Elle a opté au final pour une combinaison de différents styles architecturaux avec la prédominance du rococo français, un style très répandu dans la France des années 1740 et notamment utilisé pour le château de Versailles. On trouve également dans ce décor grandiose dix lustres en verre mesurant chacun plus de quatre mètres sur deux, inspirés de ceux de Versailles, qui ont été dépolis, drapés et ornés de bougies.
DISNEY ET LA FRANCE : UNE LONGUE HISTOIRE D’AMOUR
D’origine normande - son nom vient « d’Isigny » sur Mer - Walt Disney est souvent venu en France et a mis en scène notre patrimoine littéraire dans ses premiers cartoons tirés des Fables de Jean de La Fontaine (Le Lièvre et la tortue, La Cigale et la fourmi…), ses Grands Classiques d’après les Contes de Charles Perrault (Cendrillon, La Belle au bois dormant) ou ses films en prises de vues réelles tirés des Voyages Extraordinaires de Jules Verne (20000 lieues sous les mers, Les enfants du Capitaine Grant).
Aujourd’hui encore, la France continue d’inspirer les studios d’animation Disney et Disney.Pixar, en témoignent des Grands Classiques aussi réputés que Les Aristochats, La Belle et la Bête ou Le Bossu de Notre-Dame mais aussi Ratatouille ou Cars 2, dont l’une des étapes passe par la France.
Pour fêter cette belle histoire d’amour, Disney proposera le 23 mars prochain – jour de la sortie de LA BELLE ET LA BÊTE version « live action » au cinéma, un coffret commémoratif composé de 4 grands films d’animation dont l’action se passe en France (Les Aristochats, La Belle et la Bête, Le Bossu de Notre-Dame, Ratatouille) mais aussi d’un livre de coloriage antistress pour adulte sur ces mêmes films et de 4 cartes collector montrant la vision de la France par les artistes Disney.
LES PERSONNAGES
ROTARY ESPOIR EN TÊTE
S’ASSOCIE À NOUVEAU À DISNEY
AU PROFIT D’UNE CAUSE FONDAMENTALE
À partir du 17 mars 2017, l’action des Rotariens français vous invite à faire un don pour la recherche sur le cerveau et à découvrir en avant-première le nouveau film des Studios Disney
Pour la 12e année, le Rotary soutient la recherche sur le cerveau et collecte des fonds. Dans ce cadre, en partenariat avec The Walt Disney Company France, l’association organise des projections exceptionnelles en avant-première du film LA BELLE ET LA BÊTE.
Depuis 2005, l’action nationale ROTARY ESPOIR EN TÊTE a récolté près de 10 millions d’euros et reversés à la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau (FRC). Objectif: financer l’achat de matériel lourd destiné à 56 équipes françaises de recherche sur le cerveau.
Le principe est simple : tous les ans, une série d’avant-premières est organisée dans toute la France afin d’inciter les spectateurs à faire des dons : les billets sont vendus au prix de 15 euros dont 8 euros au moins sont reversés à la FRC. Parmi les films sélectionnés précédemment : « Le Monde Fantastique d’Oz », « Cheval de Guerre », « Raiponce », « Les Ailes Pourpres », « Dans l’Ombre de Mary », « Cendrillon » et « Le Livre de la jungle »
Cette année, c’est avec la toute nouvelle adaptation en prises de vues réelles du classique de l’animation Disney LA BELLE ET LA BÊTE réalisé par Bill Condon, au cinéma le 22 mars, que The Walt Disney Company France soutiendra l’action du Rotary. Les Français sont invités à découvrir le film en avant-première dès le 17 mars dans près de 500 salles en France et à soutenir la recherche sur le cerveau. Plus d’informations sur les dates et horaires des séances dans votre cinéma et réservations sur www.espoir-en-tete.org
A PROPOS DU ROTARY
Le Rotary International est un mouvement mondial de plus de 1,2 million d’hommes et de femmes, tous décideurs partageant les mêmes valeurs, issus de toute culture et profession, qui utilisent leurs compétences pour améliorer les conditions de santé, lutter contre la pauvreté et le manque d’eau, développer les talents des jeunes et promouvoir la paix. Leur idéal : Servir d’abord.
Pour en savoir plus sur le Rotary : https://www.rotary.org/fr
Pour en savoir plus sur l’action Rotary Espoir en tête : www.espoir-en-tete.org
À PROPOS DE LA FÉDÉRATION POUR LA RECHERCHE SUR LE CERVEAU (FRC)
La FRC a pour mission de permettre au public de mieux connaître le cerveau, d’encourager et soutenir les chercheurs en contribuant financièrement à leurs travaux. Fondée en 2000, elle fédère douze associations et fondations représentant les maladies neurologiques et les troubles psychiatriques.
Pour en savoir plus sur la FRC : http://www.frc.asso.fr/
Site officiel : www.disney.fr
#LaBelleetlaBête
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