Comédie dramatique/Fantastique/Personnages attachants, film très mignon
Réalisé par Richard Curtis
Avec Domhnall Gleeson, Rachel McAdams, Bill Nighy, Lydia Wilson, Lindsay Duncan, Richard Cordery, Josh McGuire, Tom Hollander, Margot Robbie...
Long-métrage Américain
Durée : 2h03m
Année de production : 2013
Distributeur : Universal Pictures International France
Titre original : About Time
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Date de sortie sur les écrans U.S. : 8 novembre 2013
Date de sortie sur nos écrans : 6 novembre 2013
Résumé : À l’âge de 21 ans, Tim Lake découvre qu’il a la capacité de voyager dans le temps... Lors de la nuit d’un énième nouvel an particulièrement raté, le père de Tim apprend à son fils que depuis des générations tous les hommes de la famille maîtrisent le voyage intertemporel. Tim ne peut changer l’histoire, mais a le pouvoir d’interférer dans le cours de sa propre existence, qu’elle soit passée ou à venir... Il décide donc de rendre sa vie meilleure...en se trouvant une amoureuse. Malheureusement les choses s’avèrent plus compliquées que prévu. Tim quitte les côtes de la Cornouailles pour faire un stage de droit à Londres et rencontre la belle et fragile Mary. Alors qu’ils tombent amoureux l’un de l’autre, un voyage temporel malencontreux va effacer cette rencontre. C’est ainsi qu’au fil de ses innombrables voyages temporels il n’a de cesse de ruser avec le destin afin de la rencontrer pour la première fois, encore et encore, jusqu’à ce qu’il arrive à gagner son coeur. Tim se sert alors de son pouvoir afin de créer les conditions idéales pour la demande en mariage parfaite, pour sauver la cérémonie à venir du discours catastrophique du pire des garçons d’honneur imaginable mais aussi pour épargner à son meilleur ami un désastre professionnel. Mais alors que le cours de sa vie inhabituelle se déroule, Tim découvre que ce don exceptionnel ne lui épargne pas la peine et les chagrins qui sont communs à n’importe quelle autre famille partout ailleurs.
Bande annonce (VOSTFR)
Ce que j'en ai pensé : Cette comédie dramatique a un atout majeur : ses personnages qui sont réellement attachants.
Contrairement aux apparences, le sujet principal n’est ni l’histoire d’amour romantique ni l’aspect fantastique mis en avant par les voyages dans le temps. En fait, c’est la famille - atypique dans le cas de la famille Lake. Le mélange des thèmes fait qu’on ne sait pas trop de quel genre de film il s’agit : comédie fantastique, comédie romantique, comédie dramatique. Au final, c’est un peu tout ça.
Le personnage central de l’intrigue est Tim le fils aîné de la famille, interprété par Domhnall Gleeson qui est absolument charmant. On suit son histoire avec plaisir car Tim est un gars extra. Il est gentil, très fidèle en amour comme en amitié et il accepte les défauts de ceux qui l’entourent.
A ses côtés, Rachel McAdams est adorable. Elle interprète Mary, dont Tim va tomber amoureux.
Les parents de Tim sont interprétés par Bill Nighy et Lindsay Duncan. Ils forment un couple amusant et chaleureux.
La galerie des personnages est complétée par des seconds rôles marquants et sympathiques.
La réalisation sait à la fois rester simple pour expliquer l’essentiel et mettre en avant les relations humaines et en même temps, elle réserve des surprises rigolotes et inattendues. Le réalisateur sait aussi bien manier l’humour que l’émotion.
Du coup, on pardonnera certaines longueurs - il y a un bon quart d’heure de trop. Le voyage dans le temps étant toujours un sujet un peu délicat pour garder un ensemble logique, il ne faut pas non plus être trop regardant sur la manière dont les événements se déroulent autour de cet axe de narration.
En tout cas, malgré de petites imperfections, le film m’a touché. J’ai passé un très bon moment car j’ai eu un énorme coup de cœur pour les protagonistes. IL ÉTAIT TEMPS est un divertissement super mignon et rafraîchissant.
NOTES DE PRODUCTION
(A ne lire qu'après avoir vu le film pour éviter les spoilers!)
Amour, famille et voyage dans le temps : du scénario à l’écran.
L’idée d’IL ÉTAIT TEMPS est née lors d’une conversation avec un ami dont le sujet était : Que ferions-nous s’il nous restait 24h à vivre ? Curtis se souvient qu’ils sont alors tombés d’accord sur le fait qu’ils aimeraient passer une journée normale à la maison, avec la famille, à faire des choses de tous les jours.
Cette réflexion l’incita à se demander comment construire un scénario intéressant qui amènerait son héros à cette conclusion. L’idée de quelqu’un qui aurait la possibilité d’influencer le cours de son avenir ou de son passé commença à se dessiner et c’est alors qu’il en vint au voyage dans le temps.
Pour Richard Curtis ce film se démarque de ses précédents, qui traitaient jusqu’alors de la complexité des relations amicales.
Avec le temps son intérêt pour les motivations du comportement humain a bien sûr évolué, notamment avec la mort de ses parents et son statut de père de famille. « Ce film traite autant des rapports familiaux que des rapports amoureux. Lorsque deux personnes tombent amoureuses, elles sont aussi un père et une mère en puissance et c’est cette évolution que j’ai voulu traiter dans le film », confie le réalisateur.
C’est la onzième fois que Richard Curtis travaille avec Tim Bevan et Eric Fellner au cours de ces 25 dernières années, leur première collaboration remontant à THE TALL GUY (Mel Smith, 1989).
Si tous ses films sont dans la même veine en incitant le spectateur à rire, pleurer et réfléchir tout à la fois, ils explorent à chaque fois de nouveaux horizons.
IL ÉTAIT TEMPS traite du même genre de rapports de séduction que LOVE ACTUALLY, COUP DE FOUDRE A NOTTING HILL et QUATRE MARIAGES ET UN ENTERREMENT, mais d’une façon moins ingénue, plus mature.
Une réflexion sur les bons et les mauvais côtés de la vie afin de pouvoir apprécier ce qui reste à venir.
Fellner, qui n’arrive toujours pas à concevoir qu’ils se connaissent depuis près d’un quart de siècle, est d’autant plus impressionné par l’évolution professionnelle de son camarade de toujours.
Il nous confie que Richard Curtis ne se pose jamais vraiment et essaye toujours de se surpasser, pour le plus grand plaisir du public.
« Ses films sont touchants et profonds mais il sait trouver l’humour capable de transcender le pathos et l’humanité qui permet de s’identifier totalement aux personnages afin de créer une mélodie très personnelle ».
L’aspect fantastique du voyage dans le temps a rajouté une dimension à ce fi lm basé sur l’amour et la famille. Les règles qu’impose ce dernier furent établies clairement afin qu’elles transforment un sujet de science-fiction en véritable épreuve de la vie.
La première des règles est que les hommes ne peuvent voyager dans le temps avant 21 ans.
La seconde stipule que pour fonctionner il faut se trouver dans un endroit confi né et sombre, fermer ses poings et penser très fort à la date, l’adresse et l’endroit où vous voulez vous rendre.
La troisième lui interdit de voyager dans le futur ou à travers l’histoire, il ne peut que visiter des évènements dont il se souvient et auxquels il a participé.
La quatrième exige que la moindre de ses décisions influence son futur et soit sujette à conséquences.
La productrice Nicky Kentish Barnes admet quant à elle avoir été ravie de la manière non orthodoxe dont la narration est ici structurée, elle ajoute que si le film est très autobiographique par certains côtés il n’en est pas moins savamment imaginatif.
Elle a vu des gens pleurer rien qu’à la lecture du scénario, tant l’histoire est touchante.
« Cet univers emprunt de réalisme un peu magique ne fait que rajouter à la sensibilité du fi lm, sans jamais vous distraire des enjeux réels de l’histoire. »
Le scénario bouclé, il ne restait plus qu’à se mettre à la recherche du jeune couple qui pourrait incarner ces idées, ainsi que de la famille et des amis qui peupleraient leur univers.
L’amour est dans l’air
La distribution d’IL ÉTAIT TEMPS
Même si la productrice FIONA WEIR avait depuis le début arrêté son choix sur DOMHNALL GLEESON, le premier contact fut très surprenant. Alors en plein tournage d’ANNA KARENINE, il s’est présenté aux auditions avec une barbe hirsute et les cheveux longs qui lui donnaient l’air d’un ours orange et le rendaient impossible à caster, se rappelle Curtis en riant. « On aurait dit un dictateur russe avec son énorme barbe rousse et on ne pouvait même pas deviner à quoi il ressemblait vraiment. Mais au final la décision a été évidente, car c’est un comédien à la fois spirituel, emprunt de doutes et très drôle, des qualités qui servaient son personnage à la perfection».
Son apparence mise à part, les producteurs étaient ravis d’avoir en rôle principal un jeune acteur si brillant aussi à l’aise dans le registre comique que dramatique.
« Le fait qu’il soit pratiquement inconnu du grand public, en dehors de son rôle dans HARRY POTTER, amenait une note rafraîchissante au casting et apportait un réel plus à l’histoire », commente le producteur Tim Bevan.
Dès le début du fi lm son personnage est très accessible et sympathique. Son air un peu à côté de la plaque fait que l’on a envie qu’il s’en sorte et qu’il réussisse à conquérir l’amour de sa vie. Il avait beaucoup ri lors de la première lecture du script, ce qui était pour lui un bon signe. L’histoire était pleine de sens et de très belles valeurs auxquelles il adhérait totalement, et qu’il a essayé de faire transparaître dans son jeu.
Pour le rôle de Mary, la jeune américaine avec qui Tim va fonder une famille, le choix de RACHEL MCADAMS restait incertain du fait de son emploi du temps surchargé, mais ceci était avant de savoir à quel point elle avait adoré le script. Richard Curtis ne tarit pas d’éloges à propos de la comédienne dont il avait toujours apprécié le travail et s’estime très chanceux d’avoir pu collaborer avec une actrice qui ajoute la fraîcheur et l’intelligence au talent. « Elle possède le physique de la fille d’à côté avec cette capacité de porter le jeu de ses partenaires à un niveau supérieur ».
RACHEL MCADAMS se souvient quant à elle que ce qui l’avait attiré était la beauté de cette histoire simple, si touchante et si pleine de sens, et surtout les personnages qu’elle avait adorés. Elle a signé les yeux fermés avec Richard Curtis confi ante quant à son talent, sa générosité et son implication.
Elle apprécie beaucoup que son personnage d’expatriée soit aussi complexe, « un mélange amusant d’aplomb et de fragilité, et qui va s’épanouir dès sa rencontre avec Tim, s’engageant dans la voie qui lui était destinée, jusqu’à ce que finalement les pièces du puzzle se mettent en place », raconte l’actrice.
Elle fut enthousiasmée par son jeune partenaire, Domhnall Gleeson, et avoue avoir savouré sa transformation physique, autant que son énergie, sa profondeur et son sens de la comédie. Ce dernier lui rend la pareille en ajoutant que travailler avec Rachel était un plaisir sans cesse renouvelé grâce à son épatante honnêteté et son sens de l’humour qui ont apporté à son personnage pureté et simplicité.
Face à Nighy, LINDSAY DUCAN joue la mère, véritable point d’ancrage de la famille. Mis à part son style vestimentaire très étrangement et systématiquement copié sur celui de la reine, c’est une femme forte de ses choix avec une vision de la vie admirable et très rafraîchissante.
Elle avoue, elle aussi, avoir pleuré à la lecture du scénario, « aussi bien des joies que des peines que rencontrent ces personnages qui vivent leur vie de tous les jours, en aimant, en désirant ou encore en pleurant ceux qui leur sont chers ». Pour Domhnall Gleeson, ce furent les parents idéaux, il connaissait et respectait leur travail depuis toujours, et le fait de tourner avec eux fut très stimulant et instructif mais aussi très agréable grâce à l’alchimie savamment concoctée par le réalisateur.
Dans le rôle du propriétaire londonien acariâtre de Tim, la production a arrêté son choix sur TOM HOLLANDER, le recteur arrogant d’ORGUEIL ET PRÉJUGÉS.
Pour le rôle du père de Tim, ils ont fait appel à un fidèle des films de Richard Curtis : l’inénarrable BILL NIGHY, qu’on avait déjà pu voir en rocker sur le retour dans LOVE ACTUALLY. Ce rôle était une sorte de synthèse de beaucoup de gens rencontrés par le réalisateur, en particulier son propre père, et le fait de caster un ami cher pour le rôle fut un réel plaisir.
Il s’agit de la quatrième collaboration de Nighy et Curtis notamment avec GOOD MORNING ENGLAND et The Girl In The Café. Le comédien nous confie qu’il a adoré incarner un peu du père de Curtis et que la leçon que tire cet explorateur temporel de ses voyages, à savoir rester le plus simple possible et savourer le moment présent était pour lui jubilatoire. La tendresse et le respect d’autrui sont tout ce qui importe à ce personnage.
Bien qu’étant le vétéran de la bande, Nighy n’hésite pas à rendre à César ce qui est à César et ne tarit pas d’éloges à l’égard de Rachel McAdams et de Domhnall Gleeson aussi bien sur le plan humain que professionnel.
La jeune LYDIA WILSON qu’on a pu voir dans NEVER LET ME GO (2010 de Mark Romanek) ou encore la série TV South Riding, joue ici la sœur chérie et seule confi dente de Tim, Kit Kat, qu’il essaie incessamment de sauver de ses milliers de mauvaises décisions qui ne cessent d’interférer dans la vie de couple de son frère. Pour boucler ce casting, il ne manquait plus que MARGOT ROBBIE, dans le rôle du premier amour de Tim, sur qui il testera toutes les options offertes par le voyage temporel, sans jamais arriver à grand chose.
RICHARD CORDERY fut choisi pour le rôle de l’oncle un peu simple d’esprit mais toujours à propos et JOSHUA MCGUIRE et WILL MERRICK dans les rôles des meilleurs amis de Tim, tandis que VANESSA KIRBY incarne celle de Mary et TOM HUGUES le petit ami bon à rien de Kit Kat. RICHARD E. GRANT et feu RICHARD GRIFFITHS figurent également au générique et travailler entre “Richard” se révéla aussi amusant que déroutant, car on ne savait jamais à qui on s’adressait ou de qui on parlait. « Quand on quitte le nid familial on se retrouve souvent en compagnie de gens assez atroces qu’on apprend par la suite à éviter et j’ai donc pensé que ce serait amusant que Tim aille vivre avec le plus déplaisant des hommes », dit Curtis. « Ce qui est formidable chez Tom, c’est qu’il est parfait dans ce rôle-là tout en étant un homme formidable ».
L’acteur renchérit sur les qualités cachées de son personnage, et le fait que ce soit un homme qui prend le temps de s’occuper des autres avec une véritable envie, en dépit d’une vision de la vie et d’attentes un peu particulières.
Créer sa place au soleil - Décors et plateaux
Ce tournage de 9 semaines durant l’été 2012 se déroula trois semaines en Cornouailles, cinq semaines à Londres et une semaine aux studios de Ealing.
À l’origine c’est en Écosse que devaient se dérouler les scènes de vacances familiales au bord de l’eau mais l’équipe n’y trouva pas la maison idéale. C’est finalement en Cornouailles qu’elle trouva son bonheur et put se mettre au travail afin de faire de leur rêve une réalité.
C’était la première collaboration de John Paul “JP” Kelly, le chef décorateur, avec Richard Curtis, et il fut ravi de trouver des similitudes entre le réalisateur et ses films.
« Richard pense que le monde pourrait être meilleur et qu’il appartient à chacun d’envisager ses journées selon sa propre approche. C’est un homme doté d’un incroyable optimisme, passionné, et qui ne sépare pas sa famille de son travail, ce qui est très rare », confi e Kelly. Afi n de servir cette vision très précise, il se mit à la recherche d’une maison crédible et qui rajouterait du charme au côté magique de l’histoire.
De plus Curtis avait des exigences, il voulait pouvoir voir la mer depuis les fenêtres pour les scènes entre le père et le fils. Le fi lm commence dans cette maison familiale en Cornouailles, et n’a de cesse d’y revenir, véritable symbole du temps qui passe, au gré des deuils, des mariages, des maladies, des fiançailles des naissances...on grandit, on perd des gens on en gagne d’autres... La maison choisie, située à Porthpean, date de 1850 et comprenait un jardin surplombant la mer avec un accès privé y menant tout droit.
L’endroit idéal.
Le port de pêche de Portloe fut largement exploité pour les scènes extérieures de mariage, ou celles où toute la procession traverse la tempête.
L’église de Saint-Michael Penkevil servit quant à elle pour le mariage, et Vault Beach à Gorran Haven pour les scènes de plage. « La Cornouailles est l’endroit le plus convivial de la terre, s’enthousiasme le réalisateur, elle possède toutes les qualités que je recherchais que ce soit sur le plan humain ou sur le plan visuel, une extension de l’univers très particulier que je cherchais pour la maison ».
Avant le tournage le réalisateur a emmené ses deux comédiens principaux dîner au restaurant “Dans le noir” à Londres puisque c’est là que devait se passer leur toute première rencontre. Une expérience à la découverte de ses sens puisque le restaurant, comme son nom l’indique, est dans le noir complet... qui n’a pas été concluante pour tout le monde.
Rachel McAdams avoue avoir été terrifiée, sans savoir où étaient l’entrée et la sortie, qui étaient les gens autour d’elle, ce qu’ils y faisaient ou pire encore ce qui était dans son assiette. Mais elle a bravement inclus cette expérience à la composition de son personnage qui se raccroche littéralement à Tim, comme quelqu’un perdu dans le noir, trop heureuse de pouvoir compter et se reposer sur quelqu’un.
La tenue de rigueur intertemporelle
Comme on habille la comédie
La costumière VERITY HAWKES fut chargée de la tâche improbable d’habiller les voyageurs temporels sur toute la durée de leur vie. « Il fallait percevoir la maturation de Tim qui, de jeune et inexpérimenté, devenait mûr et aguerri sans pour autant perdre la singularité qui faisait son charme originel », se rappelle Hawkes. Pour Mary ce fut le fruit d’une véritable collaboration entre la comédienne et la costumière.
Il était hors de question d’en faire une fashionista, c’est un personnage très ancré dans la réalité et il a fallu trouver où pouvait résider sa fantaisie, ce qu’elles ont fait ensemble avec la collaboration entière de la comédienne. Pour la sœur de Tim, l’iconoclaste Kit Kat, il était spécifié dans le scénario que quoi qu’elle porte, il faudrait qu’il y ait toujours au moins un élément violet. « Son personnage étant totalement déluré, chacune de ses tenues était amusante à assembler ».
En revanche la costumière ne s’attendait pas à devoir un jour habiller la reine d’Angleterre, et c’est pourtant ce qu’elle dut faire pour les costumes de la mère de Tim dont l’icône en matière de mode est Elisabeth II d’Angleterre. « Évidemment physiquement Lyndsay n’avait rien à voir avec la reine... il a donc fallu composer... »
Autre post du blog lié à IL ETAIT TEMPS : http://minu.me/atju
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