Au cinéma le 28 août 2013
Fin mai, je suis allée faire un tour du côté du MCM London Comic Con.
Le film star du Comic con était THE WORLD’S END (LE DERNIER PUB AVANT LA FIN DU MONDE). Edgar Wright, le réalisateur, était l’invité d’honneur. Je me suis débrouillée pour assister à son Q&A
et pour me faire dédicacée l’affiche du film au milieu de 399 autres fans.
Edgar Wright est un réalisateur anglais talentueux (à mes yeux en tout cas). Il apprécie beaucoup ses fans et il n’hésite pas à leur faire des clins d’œil dans ses longs métrages. De plus, il est très sympathique dans les événements publics de ce genre.
Edgar Wright est un réalisateur anglais talentueux (à mes yeux en tout cas). Il apprécie beaucoup ses fans et il n’hésite pas à leur faire des clins d’œil dans ses longs métrages. De plus, il est très sympathique dans les événements publics de ce genre.
Bref, cela fait un moment que j’attends son nouveau film.
Edgar Wright a écrit et réalisé une trilogie dont LE DERNIER PUB AVANT LA FIN DU MONDE est la conclusion.
Bande annonce VOSTFR
Résumé : L’histoire débute le 22 juin 1990 dans la petite ville anglaise de Newton Haven : cinq adolescents au comble de l’âge ingrat fêtent la fin des cours en se lançant dans une tournée épique des pubs de la ville. Malgré leur enthousiasme, et avec l’absorption d’un nombre impressionnant de pintes de bière, ils ne parviennent pas à leur but, le dernier pub sur leur liste : The World’s End (La Fin du Monde). Une vingtaine d’années plus tard, nos cinq mousquetaires ont tous quitté leur ville natale et sont devenus des hommes avec femme, enfants et responsabilités, à l’alarmante exception de celui qui fut un temps leur meneur, Gary King, un quarantenaire tirant exagérément sur la corde de son adolescence attardée. L’incorrigible Gary, tristement conscient du décalage qui le sépare aujourd’hui de son meilleur ami d’antan Andy, souhaite coûte que coûte réitérer l’épreuve de leur marathon alcoolisé. Il convainc Andy, Steven, Oliver et Peter de se réunir un vendredi après-midi. Gary est comme un poisson dans l’eau. Le défi : une nuit, cinq potes, douze pubs, avec un minimum d’une pinte chacun par pub. À leur arrivée à Newton Haven, le club des cinq retrouve Sam, la sœur d’Oliver pour qui Gary et Steven en pincent toujours. Alors que la fine équipe tente, tant bien que mal, d’accorder le passé avec le présent, une série de retrouvailles avec de vieilles connaissances et des lieux familiers les font soudain prendre conscience que le véritable enjeu, c’est l’avenir, non seulement le leur, mais celui de l’humanité entière, et arriver à «La Fin du Monde» devient le dernier de leurs soucis...
Les deux premiers opus de cette trilogie étaient SHAUN OF THE DEAD (2004)
et HOT FUZZ (2007).
C’est une trilogie dont chaque film peut-être regardé indépendamment. Leurs points communs sont un peu comme un cahier des charges que le spectateur peut cocher au visionnage :
Bande annonce VOSTFR
Résumé : L’histoire débute le 22 juin 1990 dans la petite ville anglaise de Newton Haven : cinq adolescents au comble de l’âge ingrat fêtent la fin des cours en se lançant dans une tournée épique des pubs de la ville. Malgré leur enthousiasme, et avec l’absorption d’un nombre impressionnant de pintes de bière, ils ne parviennent pas à leur but, le dernier pub sur leur liste : The World’s End (La Fin du Monde). Une vingtaine d’années plus tard, nos cinq mousquetaires ont tous quitté leur ville natale et sont devenus des hommes avec femme, enfants et responsabilités, à l’alarmante exception de celui qui fut un temps leur meneur, Gary King, un quarantenaire tirant exagérément sur la corde de son adolescence attardée. L’incorrigible Gary, tristement conscient du décalage qui le sépare aujourd’hui de son meilleur ami d’antan Andy, souhaite coûte que coûte réitérer l’épreuve de leur marathon alcoolisé. Il convainc Andy, Steven, Oliver et Peter de se réunir un vendredi après-midi. Gary est comme un poisson dans l’eau. Le défi : une nuit, cinq potes, douze pubs, avec un minimum d’une pinte chacun par pub. À leur arrivée à Newton Haven, le club des cinq retrouve Sam, la sœur d’Oliver pour qui Gary et Steven en pincent toujours. Alors que la fine équipe tente, tant bien que mal, d’accorder le passé avec le présent, une série de retrouvailles avec de vieilles connaissances et des lieux familiers les font soudain prendre conscience que le véritable enjeu, c’est l’avenir, non seulement le leur, mais celui de l’humanité entière, et arriver à «La Fin du Monde» devient le dernier de leurs soucis...
Les deux premiers opus de cette trilogie étaient SHAUN OF THE DEAD (2004)
et HOT FUZZ (2007).
C’est une trilogie dont chaque film peut-être regardé indépendamment. Leurs points communs sont un peu comme un cahier des charges que le spectateur peut cocher au visionnage :
- Le saut de barrière y est obligatoire (athlétique ou casse gueule, peu importe, mais une préférence pour le deuxième est envisageable);
- La glace Cornetto y fait un caméo (d’où le nom de ‘Trilogie Cornetto’ qu’on entend parfois);
- Le pub et la bière sont des éléments centraux (ce sont des films anglais et de ce point de vue cet aspect culturel essentiel est mis en valeur mais avec une délicieuse dérision);
- Une partie du casting est la même : Simon Pegg (qu’on retrouve également à l’écriture des scénarios des trois films avec Edgar Wright) en héros, Nick Frost en sidekick et des seconds rôles tels que Martin Freeman ou Rafe Spall. En ce qui concerne le reste du casting on y trouve toujours la fine fleur des acteurs britanniques.
- Pour sûr, il y a un peu de gore, toujours excessif et terriblement drôle.
- Enfin, des événements bizarres (de type épidémie transformant les habitants d’une ville en zombies ou meurtres en série) se produisent.
Je vous conseille avec certitude les deux premiers. Je n’ai pas encore vu LE DERNIER PUB AVANT LA FIN DU MONDE, mais à vrai dire je ne vois pas pour quelles raisons ce film ne me plairait pas.
J’adore le côté barré mais très carré des longs métrages d'Edgar Wright. Il y a une histoire, une intrigue, des personnages, des liens qui se développent et se tissent. En même temps, c’est bourré d’humour anglais, totalement improbable et plein de dérision. Sa réalisation est inventive. Il sait aussi bien filmer une scène de dialogue dans un pub qu’une scène d’action avec explosions et tirs de balles dans tous les coins. Dans tous les cas, il fait en sorte que les spectateurs ne s’ennuient pas.
J’adore le côté barré mais très carré des longs métrages d'Edgar Wright. Il y a une histoire, une intrigue, des personnages, des liens qui se développent et se tissent. En même temps, c’est bourré d’humour anglais, totalement improbable et plein de dérision. Sa réalisation est inventive. Il sait aussi bien filmer une scène de dialogue dans un pub qu’une scène d’action avec explosions et tirs de balles dans tous les coins. Dans tous les cas, il fait en sorte que les spectateurs ne s’ennuient pas.
Je partage quelques extraits sur LE DERNIER PUB AVANT LA FIN DU MONDE en attendant de pouvoir le découvrir au cinéma au plus vite !
Extrait 1 Fais moi signe VOSTFR
Extrait 2 Un verre d'eau VOSTFR
Extrait 3 Nous serons dans le brouillard VOSTFR
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