Action/Fantastique/Intrigue centrée sur Wolverine, bon moment mais fin très moyenne
Réalisé par James Mangold
Avec Hugh Jackman, Tao Okamoto, Rila Fukushima, Hiroyuki Sanada, Svetlana Khodchenkova, Brian Tee, Hal Yamanouchi, Will Yun Lee, Ken Yamamura, Famke Janssen...
Long-métrage Américain
Durée : 02h06mn
Année de production : 2013
Distributeur : Twentieth Century Fox France
Titre original : The Wolverine
Facebook : http://www.facebook.com/WolverineFrance
Twitter : #WOLVERINE
Date de sortie sur les écrans U.S. : 26 juillet 2013
Date de sortie sur nos écrans : 24 juillet 2013
Résumé : Wolverine, le personnage le plus emblématique de l’univers des X-Men, est entraîné dans une aventure ultime au cœur du Japon contemporain. Plongé dans un monde qu’il ne connaît pas, il doit faire face au seul ennemi de son envergure, dans une bataille à la vie à la mort. Vulnérable pour la première fois et poussé au bout de ses limites physiques et émotionnelles, Wolverine affrontera non seulement l’acier mortel du samouraï mais aussi les questions liées à sa propre immortalité.
Bande annonce (VOSTFR)
Ce que j'en ai pensé : Pour vous le situer chronologiquement, le début de cet opus se situe après la fin de 'X-men : l'affrontement final' (le troisième volet de la saga X-Men datant de 2006). Ne vous attendez pas au même genre de film que les X-Men. 'Wolverine : Le Combat de L'Immortel' est centré sur le personnage de Logan/Wolverine. Quand on aime ce mutant et la personnification qu'en fait Hugh Jackman, ce qui est mon cas, alors voir le déroulement de tout un pan de son histoire est intéressant. Ne connaissant pas spécialement les comics d'origines, les adaptations cinématographiques ne me dérangent pas.
La majeure partie du film se passe au Japon, du coup, on voyage avec de belles vues de Tokyo et d'autres endroits situés hors de cette ville. Quelques références à la culture japonaise sont assez amusantes. L'aspect tradition versus modernité est assez bien vu à mon avis.
J'ai apprécié que le film prenne le temps de poser les personnages et les situations. Il y a finalement assez peu d'action, sur les trois quarts du film, ce qui prend le spectateur à contre pied mais change aussi un peu par rapport aux habitudes de ce genre cinématographique. James Mangold, le réalisateur, a pris le parti de l'introspection de Wolverine vis à vis de son immortalité plutôt que de faire de la surenchère visuelle. Les quelques scènes d'action, avant la partie finale, sont bien chorégraphiées. La scène du train m'a bien divertie et j'ai trouvé la scène d'introduction impressionnante. L'humour est présent par petites touches bien placées. Jusqu'à la dernière partie du film, je passais un très bon moment.
La majeure partie du film se passe au Japon, du coup, on voyage avec de belles vues de Tokyo et d'autres endroits situés hors de cette ville. Quelques références à la culture japonaise sont assez amusantes. L'aspect tradition versus modernité est assez bien vu à mon avis.
J'ai apprécié que le film prenne le temps de poser les personnages et les situations. Il y a finalement assez peu d'action, sur les trois quarts du film, ce qui prend le spectateur à contre pied mais change aussi un peu par rapport aux habitudes de ce genre cinématographique. James Mangold, le réalisateur, a pris le parti de l'introspection de Wolverine vis à vis de son immortalité plutôt que de faire de la surenchère visuelle. Les quelques scènes d'action, avant la partie finale, sont bien chorégraphiées. La scène du train m'a bien divertie et j'ai trouvé la scène d'introduction impressionnante. L'humour est présent par petites touches bien placées. Jusqu'à la dernière partie du film, je passais un très bon moment.
Mais la toute dernière partie a été décevante. Alors que jusque là, le film avait une identité originale, d'un coup, comme s'il fallait absolument en faire des tonnes, il y a beaucoup trop d'action. Elle n'a pas forcément d'intérêt et son résultat n'est pas toujours esthétique. J'ai eu une impression un peu fourre-tout. La cohérence des événements n'est pas évidente. Cette fin ne met pas en valeur l'histoire développée dans les premiers trois quarts du film. Dommage.
Heureusement, Hugh Jackman est là et son interprétation géniale de Wolverine reste une des qualités majeures de ce nouvel épisode consacré au mutant aux griffes en adamantium. Dans l'ensemble, c'est un divertissement très sympa.
Note 1 : Je ne vous conseille pas la 3D, elle n'est pas toujours très agréable surtout dans les scènes d'action.
Heureusement, Hugh Jackman est là et son interprétation géniale de Wolverine reste une des qualités majeures de ce nouvel épisode consacré au mutant aux griffes en adamantium. Dans l'ensemble, c'est un divertissement très sympa.
Note 1 : Je ne vous conseille pas la 3D, elle n'est pas toujours très agréable surtout dans les scènes d'action.
Note 2 : Après le début du générique de fin, attendez la petite scène traditionnelle des films Marvel. Il ne faut pas la rater !
Pour rappel, à l’occasion de la sortie du film, la 20th Century Fox a dévoilé du 10 au 17 juillet dans le parc de la Villette (Place de la fontaine aux lions) le tombeau de Wolverine, jetant le doute sur son immortalité… Le personnage mythique des X-Men se retrouve pour la première fois confronté à sa propre mortalité. Désormais vulnérable, celui pour qui « l’éternité peut être une malédiction » devra cette fois faire un choix crucial : devenir mortel ou rester éternel.
Voici une petite vidéo sur ce tombeau...
...ainsi que quelques photos. Je me suis rendue sur place pour en faire par moi-même, mais comme c'était le soir du dernier jour, une équipe était déjà entrain de défaire le tombeau. Je n'ai donc pas de photographies intéressantes à partager. Je vous montre tout de même celle du communiqué de presse qui sont très jolies :
Il ne vous reste qu'à aller vérifier au cinéma le 24 juillet quel choix a fait Wolverine concernant son immortalité !
NOTES DE PRODUCTION
(A ne lire qu'après avoir vu le film pour éviter les spoilers !)
Dans WOLVERINE : LE COMBAT DE L’IMMORTEL, le personnage le plus
emblématique de l’univers X-Men se lance dans un voyage épique à travers le
Japon d’aujourd’hui.
Issu du célèbre cycle de comics Marvel,
Logan, mutant centenaire mieux connu sous le nom de Wolverine, revient dans un
pays qu’il n’a pas revu depuis la Seconde Guerre mondiale et pénètre au sein
d’un sombre univers de yakuzas et de samouraïs. Obligé de fuir en compagnie
d’une belle et mystérieuse héritière, Logan est, pour la première fois, confronté
à la mortalité. Plus que jamais, il va être poussé dans ses derniers
retranchements, tant sur le plan physique qu’émotionnel. Plongé dans un
périlleux voyage intérieur pour redécouvrir le héros enfoui en lui, il devra affronter
non seulement des ennemis puissants, aussi bien mutants qu’humains, mais
également les fantômes de son propre passé. Alors que les griffes d’adamantium
se heurtent aux lames des sabres des samouraïs, Wolverine se débat entre
l’amour, la trahison et l’honneur. Il va découvrir le véritable prix de
l’immortalité...
Hugh Jackman, interprète de Wolverine et producteur du film, déclare
: « Cette histoire transporte Wolverine
dans un univers profondément différent de ceux des précédents films de la saga
X-MEN. C’est visuellement différent, et le ton l’est aussi. Il y a de nombreux
combats dans cette histoire, mais le plus grand de tous est celui où Logan doit
choisir entre être un monstre ou devenir un être humain. »
Le personnage de Wolverine apparaît pour la première fois en 1974
dans la toute dernière planche d’un numéro de The Incredible Hulk, présageant
son ralliement au groupe de super-héros mutants connus sous le nom de X-Men. Il
sera bientôt célèbre dans le monde entier pour ses griffes d’adamantium, ses
pouvoirs d’auto-guérison et ses explosions de rage primitive. Wolverine se
forge ainsi une réputation de superstar au royaume des super-héros. Dans les
années 1980, Wolverine devient un personnage à part entière dans une minisérie
de quatre épisodes créée par l’auteur de « X-Men », Chris Claremont, et le
dessinateur légendaire Frank Miller (« The Dark Knight », « Sin City »). Dans
cette série, le personnage fait un voyage solitaire au Japon où il se retrouve
happé dans un tourbillon de crime, de trahison et d’honneur, et au milieu duquel
il est forcé de faire face à sa force terrifiante et sa vulnérabilité cachée.
Tentant de naviguer dans un monde qu’il peine à comprendre, Wolverine trouve
pour la première fois son propre sens de la justice.
Longtemps plébiscitée par les fans de Wolverine, cette intrigue a
également été une source d’inspiration pour Hugh Jackman, nommé aux Oscars, qui
a déjà incarné le personnage dans six blockbusters X-MEN (le tournage du septième
opus est en cours). L’acteur a vu dans cette face cachée de l’histoire du personnage
une chance rare d’explorer plus profondément encore l’indestructibilité de
Wolverine et de faire la lumière sur ses côtés sombres. Ce désir s’est trouvé
renforcé quand Hugh Jackman s’est associé à James Mangold. Le célèbre
réalisateur a notamment à son actif WALK THE LINE, dans lequel l’histoire de
Johnny Cash est devenue un fascinant récit d’amour et de rébellion, et la
reprise du grand classique du western 3H10 POUR YUMA, transformé en un jeu du
chat et de la souris moderne autour des thèmes mythiques de l’amitié, du devoir
et du destin. Il représentait donc un choix tout indiqué pour donner une
nouvelle dimension au personnage de Wolverine, et pour le sortir des
conventions habituelles des intrigues des X-MEN.
Hugh Jackman explique : « James Mangold sait comment faire un film drôle, avec une
action incroyable tout en soignant ses personnages et sa narration de la
manière la plus subtile qui soit. Il m’a poussé à aller plus loin, à être plus
en colère, plus fort, plus furieux dans tous les sens du terme, à chaque prise.
» Dès le départ, James Mangold a voulu casser
les codes des films basés sur des comics. Le réalisateur s’explique : « Ce qui m’a intéressé dans WOLVERINE : LE
COMBAT DE L’IMMORTEL, c’était de faire quelque chose de différent par rapport
aux films de super-héros standards où il s’agit de stopper le diabolique plan
du méchant. Dans cette histoire, l’action et le suspense sont davantage
construits autour du personnage, le tout dans un monde qui vous procure une
expérience d’un genre complètement nouveau, quelque chose que vous n’avez
jamais vu auparavant. »
Bien que certains personnages du passé de Wolverine fassent une
apparition et que des allusions soient faites à ce qu’il a vécu dans ses
précédentes aventures, c’est une vision alternative des films X-MEN qui est
mise en avant. Le réalisateur explique : « Quand vous faites un film sur un groupe
de personnages comme les X-Men, vous ne pouvez pas pénétrer très en avant dans
leurs esprits. Mais ce film permet d’entrer profondément en Logan, d’explorer
son identité et les origines de sa rage. C’est quelqu’un qui a été utilisé par
le Département de la Défense, le gouvernement, des ennemis, des méchants, et
même par des proches. Et au fil du temps, cette colère a grandi, attisée par sa
propre nature sauvage. C’est pourtant dans cette histoire qu’il commence à
comprendre que cette rage pourrait le rendre plus fort. »
En fin de compte, James Mangold s’est éloigné de l’histoire
fantastique issue de l’univers des comics pour créer une intrigue plus proche
d’un thriller implacable mettant en scène un homme au passé trouble, à la
recherche de son identité future. Il déclare : « Je pense que ce qui va surprendre le
plus les gens dans ce film, c’est son aspect très réel ; à quel point on s’immerge
entièrement dans ce monde, dans l’action, le drame et la romance. »
James Mangold a été particulièrement attiré par l’incertitude dans
laquelle se trouve Logan au début de cette histoire : il a vécu beaucoup
d’heures sombres, il a le sentiment d’avoir perdu ou abîmé presque tout ce
qu’il aimait, et il doute de l’existence d’un chemin vers la rédemption. La
seule chose qu’il lui reste est son immortalité. Mais même cela pourrait s’avérer
être une malédiction plutôt qu’une bénédiction. Le réalisateur commente : « L’une des choses que je trouve
particulièrement intéressante au sujet de Wolverine est son immortalité ; le
fait que grâce à sa capacité de guérison, il peut survivre indéfiniment, pareil
à un dieu, et par conséquent, il connaît également la solitude des dieux. Même
quand Logan perd ceux qu’il aime, il sait que lui-même va continuer à vivre. Il
vit depuis cent ans, il a connu des guerres, des combats et la mort de ses
proches, il a atteint un état de grande lassitude. C’est un thème classique :
l’homme qui peut vivre à jamais mais qui en souffre. Logan est un héros blessé,
et cette histoire traite en grande partie de sa quête pour retrouver cette
partie de lui-même qu’il a perdue. »
James Mangold a saisi l’opportunité de plonger directement Logan au cœur
du Japon d’aujourd’hui, où élégance et modernité high-tech côtoient des
traditions ancestrales et des codes d’honneur secrets. Il explique : « Cette histoire transporte Logan dans
une vision enfiévrée du Japon contemporain, rempli de yakuzas, de ninjas, de
samouraïs, de crime organisé, de mystère et de mysticisme. » Cet environnement japonais a permis à James
Mangold et Hugh Jackman de réinventer Logan sous une nouvelle apparence : celle
d’un rōnin. Le réalisateur explique : « Dans le Japon féodal, le samouraï
appartient à un maître alors que le rōnin est un samouraï qui n’a plus de
maître à servir. Il est, en quelque sorte, un guerrier sans but, sans cause.
Beaucoup de ceux qui donnaient à Logan l’impression de se battre pour quelque
chose ont disparu. Finalement, c’est essentiellement un homme perdu, capable de
tout mais sans mission. C’est une iconographie que les westerns américains et
les films de samouraïs partagent, et maintenant nous y insérons un personnage
de comic book. »
Les beautés du Japon sont mises en perspective avec d’intenses
scènes d’action allant de l’accélération d’un train à grande vitesse à la
menace dominante du Samouraï d’Argent. Mais ici aussi, James Mangold a voulu
explorer au-delà des frontières du genre. « Nous pensions toujours à repousser les
limites de l’action et des images, dit-il, mais sans pour autant perdre
l’impression que ce qui arrive est réel. » Toute l’équipe de production était enthousiaste à l’idée de faire
quelque chose d’inhabituel avec un personnage devenu si populaire. Les
producteurs associés à Jackman sur le film sont Lauren Shuler Donner, qui a
joué un rôle vital dans l’histoire des films X-MEN depuis le début, et Hutch
Parker, qui a travaillé avec Donner pour appuyer la vision de James Mangold.
Hutch Parker résume : « C’est
vraiment l’histoire de Wolverine par excellence. Il est entraîné dans un voyage
introspectif qui fait ressortir les conflits fondamentaux qui le rongent. Il
est mis au défi comme il ne l’a jamais été, tant physiquement qu’émotionnellement.
Cela nous emmène dans un Japon très réel et pourtant totalement étranger. »
Hutch Parker voit dans l’approche de James Mangold une adéquation parfaite avec
le sujet. Il remarque : « Jim s’appuie sur ce qui s’est déjà fait, mais avec
son propre style. Il voulait rendre ce monde viscéralement réel et montrer non
seulement la rage de Wolverine, mais également les causes de celle-ci. »
Bien que
Hugh Jackman incarne pour la sixième fois le personnage de Logan (c’est un
record : il est le seul acteur à avoir joué autant de fois un même héros de
comic book) WOLVERINE : LE COMBAT DE L’IMMORTEL ne ressemble à rien de ce que
l’on a pu voir jusqu’ici. En effet, au début du film, Logan doute de la voie à
suivre, tandis qu’il se rend au Japon.
Hugh Jackman explique : « C’est quelqu’un qui a toujours suivi sa propre route, mais
au début de cette histoire, il est sans doute plus seul que jamais. Il est en
rébellion avec le monde parce qu’il a été créé pour être une arme et qu’il se bat
contre cette idée. Il se voit comme un danger pour la société. » L’acteur poursuit : « Vous verrez un Logan plus vulnérable,
plus exposé et plus monstrueux que jamais. Il se débat avec son identité, avec
sa raison de vivre, et il doit désormais faire face au choix d’accepter ou non
sa vraie nature. »
Hugh Jackman a particulièrement apprécié de transporter Logan au
Japon : « C’est un
endroit sans pareil sur la planète, et c’est aussi un lieu qui hante et affecte
Wolverine à mesure qu’il s’y engage. L’atmosphère propre au Japon est très perceptible
dans le film. Cela altère la façon dont Logan interagit habituellement avec les
gens et sa capacité à décrypter les situations. Il doit repartir de zéro. Le Japon
est une société assez insulaire qui a un sens très fort de sa culture et de son
histoire. Logan est donc un complet étranger dans ce monde mystérieux où il
découvre l’univers des samouraïs, leur entraînement et leur code d’honneur. D’ailleurs,
il s’en méfie immédiatement, un peu comme quand il pénètre pour la première
fois dans l’univers des X-Men. Pourtant, il observe et s’adapte. Il commence à
respecter l’idée d’être un guerrier pour leur capacité à servir un maître. Il
devient peu à peu une meilleure version de lui-même. »
Dès le départ, Hugh Jackman s’est engagé à hisser Wolverine vers un nouveau
niveau de condition physique. Il s’est donc lancé dans une préparation d’une
intensivité et d’une discipline inédites pour lui, en combinant régime
rigoureux, entraînement physique extrême et apprentissage intensif des arts
martiaux. Il confie : « J’ai
toujours adoré jouer ce personnage, mais j’ai aussi toujours eu envie de le
pousser encore plus loin physiquement. Ce scénario m’a donné l’opportunité
d’aller plus loin émotionnellement que dans les précédents épisodes de la
série, et j’ai voulu en faire de même sur le plan physique. J’ai commencé l’entraînement
et un régime strict longtemps à l’avance. Je pense que cela a payé car quand je
me regarde à l’écran, je vois le vrai Wolverine. Je trouve essentiel qu’il soit
mince, que l’on voie ses veines saillir, que l’on saisisse sa puissance au
premier coup d’oeil. J’ai toujours voulu que les gens regardent l’écran et n’en
reviennent pas de ce qu’ils voient ! » Pour la performance d’acteur, apprendre de nouvelles techniques de
combat était également primordial. Hugh Jackman raconte : « J’ai toujours imaginé Wolverine comme
un combattant des rues ou un bagarreur de bar. Son style n’est pas élégant, il
ne veut pas traîner en assénant un ou deux coups, tout ce qui l’intéresse c’est
de couper la tête de son adversaire en deux secondes et de passer à autre chose.
Sa façon de combattre n’est pas du tout réfléchie. Mais l’une des choses les
plus intéressantes dans cette histoire est justement qu’il commence à vraiment prendre
la discipline et l’entraînement à cœur quand il arrive au Japon. » Hugh Jackman a fait de même, en travaillant
en étroite collaboration avec l’équipe de cascadeurs 87Eleven pour maîtriser
diverses variétés de ninjutsu ainsi que d’autres arts martiaux japonais. Il
note : « L’équipe
de 87Eleven a été fantastique. Je me suis entraîné tous les jours et je peux
vous dire que si le travail en salle de musculation a été difficile, l’entraînement
aux arts martiaux s’est avéré dix fois pire. »
Dans son
voyage au Japon, Logan est entouré de personnages aux intentions initialement
floues mais dont le code d’honneur inconnu va l’intriguer. Pour le casting,
comme pour tous les autres éléments de la production, James Mangold a cherché à
mettre en évidence les bases réalistes du film. Pour jouer le rôle majeur de
Shingen Yashida, industriel de premier plan à la tête d’un vaste empire du
crime, qui est aussi le père de Mariko, le nouvel amour de Wolverine, le
réalisateur a choisi une légende du cinéma japonais : Hiroyuki Sanada. Cet
acteur a commencé sa carrière dans les années 1960 alors qu’il était encore
enfant, et est devenu un héros de films d’action, un acteur dramatique reconnu,
le premier Japonais à se produire avec la Royal Shakespeare Company et la star
de dizaines de films japonais et hollywoodiens, notamment LE SAMOURAÏ DU
CRÉPUSCULE, RING, LE DERNIER SAMOURAÏ, SUNSHINE, RUSH HOUR 3 et SPEED RACER. Les
techniques du combat samouraï parfaitement maîtrisées par Sanada ont également
bénéficié aux autres acteurs, puisqu’il a partagé son large savoir au sujet des
arts martiaux, notamment avec l’actrice novice Rila Fukushima qui joue Yukio. Cette
dernière confie : « J’avais
une scène de combat au sabre au début du tournage et Hiro m’a beaucoup aidée. J’ai
du mal à imaginer comment je m’en serais sortie s’il n’avait pas été là. Il est
incroyable à regarder et nous étions vraiment honorés de travailler avec lui. »
Bien que WOLVERINE : LE COMBAT DE L’IMMORTEL se déroule à l’écart de
l’équipe X-Men, certaines figures clés du passé de Logan font une apparition, notamment
Jean Grey, la mutante télékinésiste, premier amour de Logan, incarnée une fois
encore par Famke Janssen. Celle-ci a saisi l’opportunité de retourner dans
l’univers X-Men, et plus particulièrement la chance de retravailler avec Hugh
Jackman. Elle observe : « Hugh
et moi avons une superbe histoire avec ces deux personnages. Nous avons travaillé
ensemble sur trois précédents films, dans lesquels Logan et Jean flirtent, et
je pense que de nombreux fans de « X-Men »
espéraient les revoir ensemble. Cela me semble d’autant plus vrai étant donné
la nature de nos scènes communes dans ce film. Ce sont des scènes de rêve,
elles sont belles, intimes et peut-être un peu perturbantes. »
Hutch Parker ajoute : « Jean Grey tient une place centrale dans le voyage que Logan
entreprend pour combattre les démons de son passé. Jean et Wolverine avaient
une relation complexe et désormais, Jean est en quelque sorte un guide qui le
remet en question. Cela contribue à relier l’expérience particulière de cette
histoire avec le reste de la mythologie X-Men. »
Le périple de Logan à travers le Japon est également marqué par deux
autres femmes puissantes, qui toutes deux jouent avec lui de leurs charmes,
lumineux ou sombre. Tao Okamoto joue le rôle de Mariko, avec qui Logan entretient
une histoire d’amour complexe, et Rila Fukushima celui de Yukio, fougueuse garde
du corps manieuse de sabre. Toutes deux ont été choisies après des auditions où
leur naturel a séduit les cinéastes. Le réalisateur déclare : « Tao et Rila sont des actrices nées et
elles sont toutes les deux incroyables dans leurs rôles. Ces deux femmes sont
extrêmement belles et chacune possède une énergie évidente, incroyable, et
pourtant elles ne pourraient pas être plus différentes. »
Tao Okamoto a été attirée par le passé de son personnage, fille d’un
industriel puissant qui n’a jamais été là pour elle et qui a arrangé son
mariage avec un homme qu’elle n’aime pas. L’actrice explique : « Mariko ne pourra jamais être une femme
normale. Toute sa vie, elle a dissimulé ses rêves. Au début de l’histoire,
c’est quelqu’un de profondément désespéré. Puis elle rencontre Logan, elle
commence alors à réaliser ce qu’elle veut vraiment dans la vie et elle se met à
changer. Cette transformation a été très intéressante pour moi. » Hugh Jackman a été impressionné par la
manière quasi organique avec laquelle Okamoto a fait corps avec le personnage. Il
commente : « Elle
a cette capacité à laisser la caméra aller au plus profond d’elle-même. Quand
Wolverine arrive au Japon, il ne veut se lier à rien ni personne, mais grâce à
la performance de Tao, on comprend qu’il ne peut qu’être attiré par elle. »
Native de Tokyo, Rila Fukushima raconte au sujet de son personnage :
« C’est l’intensité de Yukio qui m’a
intriguée ; la dimension physique du personnage et son caractère impitoyable
m’ont intéressée. J’étais ravie d’avoir la chance de réaliser ces scènes
d’action pure, mais j’ai également vu un grand potentiel humoristique dans ce
personnage. » Rila
Fukushima a tout de suite aimé l’aspect fougueux et les épreuves de ce rôle.
Elle raconte : « Cela
a été pour moi un parcours incroyable et très stimulant. Je me suis entraînée
avec notre formidable équipe de cascadeurs, j’ai appris tous les aspects
physiques du rôle, notamment le maniement du sabre, le kick-boxing et le
combat, et j’ai aussi fait beaucoup de musculation. Je n’avais jamais rien fait
de tel, mais cela s’est avéré très plaisant. »
Svetlana Khodchenkova donne vie à une autre femme puissante et
complexe, la Vipère aux yeux verts, une mutante rusée et traîtresse. D’origine
russe, Khodchenkova est mieux connue en Occident pour avoir joué l’agent secret
soviétique Irina dans le film d’espionnage LA TAUPE.
Dans le rôle de Lord Yashida, le père de Shingen Yashida, qui tente
de passer un odieux marché avec Logan, on retrouve l’acteur japonais Haruhiko
Yamanouchi, qui n’a pas pu résister à l’envie d’incarner ce personnage hors du
commun. Il confie : « Lord
Yashida est si imposant qu’il me fait penser à un personnage de Shakespeare. » Yamanouchi s’est plongé dans l’histoire et
les personnalités d’authentiques industriels japonais pour comprendre au mieux
l’ambition de Yashida. Il explique : « Il est l’un des moteurs de l’économie japonaise, et je pense
que de tels hommes ont un fort sentiment de responsabilité et d’identification
avec le destin du Japon. »
L’acteur américain Will Yun Lee vient compléter le casting principal
dans le rôle de Harada, le ninja de la Main Noire. L’approche de James Mangold
a séduit cet acteur connu pour ses rôles dans « Witchblade » sur TNT et son
interprétation du méchant dans James Bond MEURS UN AUTRE JOUR. Il note : « J’ai toujours été un fan du genre, et
connaissant les films de James Mangold, je savais qu’il donnerait une tournure
intéressante au projet. À la lecture du script, j’ai adoré que Harada soit
décrit comme un personnage si mystérieux. » Son passé inattendu - il est le fils illégitime de Shingen Yashida
- mène Lee au coeur de l’ultime dilemme de son personnage. L’acteur explique :
« Harada a été élevé par Yashida, et il a
dirigé ce qu’on appelle le Clan Noir, un ordre de ninjas vieux de plusieurs
siècles dont l’unique mission est de protéger la Maison Yashida. Mais au cours
du film, Harada réalise que ce qui se passe autour de lui ne correspond pas à
son code de guerrier. Il se retrouve donc vers à la fin du film à devoir
prendre une décision cruciale concernant le respect ou non de ce code. » Pour ses scènes de combat, Will Yun Lee s’est
entraîné avec acharnement. Il explique : « Mon plus gros défi a été d’acquérir des
compétences qui vont au-delà des arts martiaux. Ils m’ont sacrément mis à
l’épreuve ! Je me suis entraîné trois heures par jour, tous les jours, mais
cela a porté ses fruits. »
L’atmosphère
enivrante du Japon d’aujourd’hui, hyper moderne et portant cependant
l’empreinte des traditions et des fantômes du passé, est centrale dans
l’histoire de WOLVERINE : LE COMBAT DE L’IMMORTEL, et James Mangold s’était
engagé à tourner sur place dès le début. En définitive, le tournage ambitieux
de 80 jours s’est partagé entre le Japon et les plateaux des studios de la Fox
à Sydney, en Australie. Le réalisateur commente : « Le Japon ne ressemble à aucun autre
pays du monde. Sa culture, ses codes, son caractère sont uniques. Y tourner
nous a permis d’avoir une vision authentique des paysages, de l’architecture.
Et nous avons aussi pu filmer quelque chose d’assez rare au cinéma : le Japon
rural. Les gens pensent que le Japon, c’est Tokyo ou Osaka, mais on y trouve
aussi de splendides étendues sauvages et des îles tropicales. Aussi bien
l’agitation de la ville que l’incroyable atmosphère zen de ces belles forêts
luxuriantes nous ont profondément touchés. Notre présence dans ces endroits est
une opportunité qui a vraiment influencé la façon de réaliser le film. » Pour saisir cette identité multiple, James Mangold
a travaillé avec le directeur de la photographie Ross Emery, le chef décorateur
François Audouy et la chef costumière Isis Mussenden. Ils ont chacun contribué
à créer une atmosphère qui mélange des éléments de film noir, de folklore
japonais, de drame personnel intense et d’iconographie des bandes dessinées. Ross
Emery a collaboré étroitement avec James Mangold pour donner à WOLVERINE : LE
COMBAT DE L’IMMORTEL un style réaliste tout en poussant la réalité dans ses extrémités
les plus sanglantes. Il explique : « Le style du film repose en grande partie sur la force des
personnages. Et ces personnages évoluent dans de nombreux environnement, à la
fois très réels et spectaculaires, comme Tokyo la nuit, qui évoque une atmosphère
très proche de celle de BLADE RUNNER, mais aussi la campagne, qui permet un genre
de texture totalement différent. »
En tournant avec les caméras numériques Arri Alexa dotées
d’objectifs anamorphiques, Ross Emery a atteint une flexibilité maximale et une
netteté qui propulse le spectateur au coeur de l’action. Il explique : « La combinaison de la caméra et des
objectifs donne cet aspect de grand classique que Jim adore. » François Audouy, le chef décorateur, a illustré
à travers ses décors une vision du Japon perçue par Logan, qui reflète à la
fois ses tourments profonds et son regard extérieur sur la culture japonaise. Il
se souvient : « Jim
avait des pistes de réflexion très intéressantes pour le style visuel du film.
Il le décrivait toujours comme « un rêve enfiévré du Japon » et il voulait donc
que l’on crée une sorte de road trip onirique et stylisé pour Logan. L’idée
était de le plonger dans une réalité augmentée, légèrement magique, mais
légitime et crédible. »
François Audouy a commencé en amont, en s’immergeant dans l’histoire
du Japon : ses traditions immuables, ses formes d’art soignées et son
architecture unique. Il commente : « Nous avons nourri Jim de toutes ces recherches. Ensuite, il
a retranscrit ces idées visuelles directement dans le script. Le processus de
création a été partagé et très collaboratif. » Par la suite, le chef décorateur s’est rendu à plusieurs reprises
au Japon pour faire des repérages. Il explique : « Nous savions que nous aurions une période
de temps limitée pour tourner au Japon, nous voulions donc tirer parti de ces
endroits que nous ne pouvions pas recréer en studio. Nous désirions que les
spectateurs soient au côté de Logan lorsqu’il s’immerge totalement dans ce
monde étranger. » La
couleur a été un élément clé de toute l’esthétique mise en place par François Audouy.
Il note : « La
couleur est un fil conducteur tout au long du film. Quand on commence au
Canada, tout est tamisé et naturel. Ensuite, on a cet impressionnant visuel pop
qui apparaît à l’arrivée au Japon avec une explosion de texture et tous les
éléments graphiques de Tokyo la nuit. Puis on se rend sur le domaine de Yashida
où tout est beau, serein, sophistiqué et entièrement créé pour jouer sur
l’opposition avec le Samouraï d’Argent. » Plusieurs des décors les plus imposants ont été construits plus
tard, en studio ou sur des sites australiens, notamment des parties de
l’opulent domaine Yashida avec ses bonzaïs et ses bassins, ainsi que le
laboratoire high-tech. Le Village de Glace représente l’une des créations les
plus complexes qu’Audouy a minutieusement reconstituées à Homebush, en
Australie, en s’inspirant de trois villages de montagne qu’il avait repérés à Nagano
au Japon. Il commente : « Nous
nous sommes basés de manière très précise sur l’architecture des villages de montagne,
et cela a été très amusant à construire. »
Sur ce film, François Audouy a également participé à la création de
l’ennemi de Wolverine, le Samouraï d’Argent, dont le costume mécanique articulé
a été créé de toutes pièces. « Chaque détail a été soigneusement pensé, jusqu’au moindre
boulon, au moindre câble. Il a été construit par une équipe très talentueuse
pendant presque cinq mois ici à Sydney. » Le chef décorateur poursuit : « Le costume était composé de 600
éléments, chacun conçu séparément et modélisé par ordinateur. Cette création
était très ambitieuse, mais tout le monde s’est retrouvé bouche bée quand nous
l’avons dévoilée au milieu du labo. Quand vous lisez ça dans le scénario, vous
vous dites que ce sera fait en images de synthèse. Mais avoir l’opportunité de construire
un robot de quatre mètres de haut qui déchire, c’était plutôt cool ! »
James Mangold voulait que WOLVERINE : LE COMBAT
DE L’IMMORTEL se distingue par des scènes d’action plus réalistes que jamais. Il
a donc fait appel à David M. Leitch, réalisateur deuxième équipe et
coordinateur de cascades, et à son équipe de 87Eleven pour chorégraphier les
scènes d’action et entraîner les acteurs. James Mangold précise : « L’une des particularités du film réside
dans le fait que 90 % des scènes d’action ont été entièrement réalisées par nos
acteurs. Nous avons voulu donner un côté résolument réaliste, terre à terre, à
l’ensemble, parce que je trouve qu’il y a quelque chose d’extraordinaire et de
viscéral dans ces combats à un contre un. »
Bien avant le début du tournage, David Leitch a commencé à entraîner
chacun des membres du casting et a affiné chaque mouvement de sabre, chaque
coup de pied et chaque attaque des lames d’adamantium pour les ambitieuses scènes
de bataille du film. Il explique : « Nous avons vraiment essayé dans ce film de s’assurer que
l’esthétique japonaise du ninjitsu et des arts martiaux soit mise en valeur,
mais nous y avons ajouté des touches imaginaires. Il y a des mouvements de
gymnastique et des acrobaties inattendues, mais en même temps, les lignes
épurées et le minimalisme des films de samouraïs se retrouvent dans la
chorégraphie. Nous avons essayé de proposer quelque chose de fun, cool et
différent. »
David Leitch était particulièrement enthousiaste à l’idée de
retrouver Hugh Jackman, avec qui il avait travaillé sur VAN HELSING et X-MEN
ORIGINS : WOLVERINE. Il remarque : « Hugh est l’un des acteurs les plus doués physiquement que je
connaisse. Il apprend les chorégraphies très rapidement. On peut faire de
longues prises sans coupures parce qu’il réussit à se dépasser, et on peut
changer quelque chose au dernier moment, il assimile immédiatement ; tout cela
est très rare chez un acteur. Il mémorise les chorégraphies aussi bien que les
cascadeurs de notre équipe. Encore mieux, il ajoute le poids émotionnel du
personnage à ces scènes d’action, et c’est ce qui le rend si convaincant. »
Cet univers
japonais qui attire Logan a représenté un défi excitant pour la chef costumière
Isis Mussenden, qui a travaillé en étroite collaboration avec James Mangold et François
Audouy pour concevoir l’ambiance à la fois déroutante et implicante du film. Voyager
à travers le Japon ancestral et contemporain, entre les traditions et la postmodernité,
l’a enthousiasmée. Elle confie : « Faire des recherches sur la culture japonaise, les
traditions, les vêtements, le kimono, le yukata, les ninjas, l’aïkido, le
kendo, les yakuzas, le style de la rue, le quartier de Harajuku a été passionnant…
Tous ces éléments nous ont fait découvrir un monde inconnu. » Cela a même permis d’envisager une nouvelle
approche pour le personnage de Wolverine.
Elle précise : « Logan
n’est plus la même personne par rapport aux histoires précédentes, nous sommes donc
partis sur l’idée de lui donner une apparence nouvelle, en adéquation avec l’histoire.
Il est totalement hors de son élément au Japon. » Bien que Logan n’ait guère plus de cinq tenues,
l’équipe d’Isis Mussenden a confectionné près de cent exemplaires pour Hugh
Jackman, afin de l’accompagner dans ses aventures sauvages où les vêtements
sont bien malmenés. Elle précise : « Hugh devait constamment changer de tenue pour satisfaire aux
différents types de combats, pour les harnais, pour les impacts de balles, les marques
et les déchirures. »
Alors que Logan apparaît le plus souvent dans des couleurs terre,
des nuances de brun ou d’ocre, les femmes qu’il rencontre au Japon usent de
palettes de couleurs plus audacieuses et mystérieuses. La chef costumière note
: « Yukio est en rouge. Vipère est évidemment
en vert, comme dans les bandes dessinées, et Mariko en un bleu limpide, puisqu’elle
joue le rôle de l’ingénue. Il y a aussi beaucoup de noir dans le film, car
cette couleur est très présente dans la palette japonaise, mais toujours en
contraste avec des textures et des couleurs intensément belles. » Isis Mussenden précise qu’elle a dû apprendre
les règles complexes du port du kimono, les rituels funéraires japonais et les
traditions ninjas. Elle a particulièrement apprécié travailler avec le costume
en latex de Vipère et le look de Yukio inspiré des mangas japonais. Elle commente
: « Le costume final de Vipère est vraiment
tape-à-l’oeil, alors que Yukio est un personnage branché et cool ; cela a été
très plaisant de travailler à ces conceptions. Pour Yukio, nous nous sommes
inspirés des graphic novels Wolverine, de nombreux mangas pour filles et de
Rila Fukushima, qui est à la fois belle, dure et séduisante. »
Le producteur Hutch Parker espère que ce nouvel univers pour
Wolverine sera également convaincant pour les spectateurs. Il note : « De la conception des décors à
l’élaboration des costumes, en passant par les décors, James Mangold et son
équipe ont imprégné cette histoire du genre de détails qui rendent le tout
vivant. Le style visuel général entretient d’étroites interactions avec le parcours
psychologique de Wolverine. »
James Mangold conclut : « Nous espérons vraiment avoir créé un voyage hors du commun
qui plongera de manière encore plus directe le public dans l’univers de Wolverine.
J’espère que les spectateurs auront l’impression, tout comme Logan, de pénétrer
dans un univers qu’ils n’ont encore jamais vu et qu’ils se retrouveront entièrement
immergés dans quelque chose de nouveau et de passionnant. »
Autre post du blog lié à 'Wolverine : Le Combat de L'Immortel' : http://minu.me/a0jt
Lien vers le concours 'Wolverine : Le Combat de L'Immortel' : http://minu.me/a0ju
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