Back to the future
en 3D
Au cinéma le 1er mai 2013
Action/Aventure/Toujours aussi génial
Réalisé par Steven Spielberg
Avec Sam Neill, Jeff Goldblum, Laura Dern, Richard Attenborough, Bob Peck, Martin Ferrero, B.D. Wong, Joseph Mazzello, Ariana Richards, Samuel L. Jackson, Wayne Knight...
Long-métrage Américain
Durée: 02h02mn
Année de production: 1913
Distributeur: Universal Pictures International France
D'après le roman de : Michael Crichton
Date de sortie d'origine sur nos écrans : 20 octobre 1993
Date de sortie sur nos écrans cette année: 1er mai 2013 - en 3D
Bande annonce (VOSTFR)
Extraits (VOSTFR)
Extraits (VOSTFR)
Introduction (source Universal) : Universal Pictures présente le chef d'œuvre novateur de Steven Spielberg, JURASSIC PARC en 3D. Dans une version numérique remixée grâce aux dernières avancées de la technologie 3D, Steven Spielberg présente son blockbuster trois fois récompensé aux Oscars à une nouvelle génération de spectateurs et offre à ses fans de longue date de revoir son film culte dans une version jusqu'alors inimaginable. Avec Sam Neill, Laura Dern, Jeff Goldblum, Samuel L. Jackson et Richard Attenborough, et tiré du roman de Michael Crichton, JURASSIC PARC 3D est produit par Kathleen Kennedy et Gerald R. Molen.
Ce que j'en ai pensé : Alors ça fait quoi de revoir 'Jurassic Park' 20 ans après au ciné et en 3D? Et bien, c'est toujours aussi sympa. La 3D améliore l'expérience pour le spectateur mais ce n'est pas non plus un changement fondamental. Le film était génial à l'époque et il l'est toujours. L'intérêt est plus, à mon avis, de se (re)faire plaisir sur grand écran et de faire découvrir le film aux plus jeunes.
C'est en revoyant 'Jurassic Park' des années après qu'on se rend vraiment compte à quel point le film était un exploit technique de la part de Steven Spielberg, le réalisateur, en 1993. Les dinosaures n'ont pas vieilli, les effets spéciaux n'ont absolument pas à rougir face à leurs équivalents contemporains. C'est assez impressionnant. Il y a bien quelques éléments vestimentaires et technologiques de l'époque qui font sourire aujourd'hui, mais ce sont des détails.
La musique de John Williams est toujours aussi prenante et colle impeccablement aux ambiances et aux scènes dans lesquelles elle est utilisée.
L'imaginaire développé dans le scénario du film, ce rêve insensé créé par un richissime utopiste, reste intact. J'ai vibré à la possibilité de ce monde disparu (la scène de l'ouverture des portes du parc est une invitation, pour le spectateur, à ouvrir son imagination et à croire que tout est possible) et je me suis posé les mêmes questions que les personnages.
Mon seul regret, qui était déjà le même il y a 20 ans, est que le rôle de Jeff Goldblum, qui interprète l'excellent, cynique et nécessaire, Dr Ian Malcolm, ne soit pas plus important. Ses répliques et son style décalé sont très drôles et il est celui qui conteste sans se laisser influencer par ce qu'il voit. Il fait appel à la logique et au raisonnement pour ramener à la réalité toute l'équipe.
Je vous le confirme revoir 'Jurassic Park' sur grand écran est toujours une expérience merveilleuse. Merci Monsieur Spielberg!
C'est en revoyant 'Jurassic Park' des années après qu'on se rend vraiment compte à quel point le film était un exploit technique de la part de Steven Spielberg, le réalisateur, en 1993. Les dinosaures n'ont pas vieilli, les effets spéciaux n'ont absolument pas à rougir face à leurs équivalents contemporains. C'est assez impressionnant. Il y a bien quelques éléments vestimentaires et technologiques de l'époque qui font sourire aujourd'hui, mais ce sont des détails.
La musique de John Williams est toujours aussi prenante et colle impeccablement aux ambiances et aux scènes dans lesquelles elle est utilisée.
L'imaginaire développé dans le scénario du film, ce rêve insensé créé par un richissime utopiste, reste intact. J'ai vibré à la possibilité de ce monde disparu (la scène de l'ouverture des portes du parc est une invitation, pour le spectateur, à ouvrir son imagination et à croire que tout est possible) et je me suis posé les mêmes questions que les personnages.
Mon seul regret, qui était déjà le même il y a 20 ans, est que le rôle de Jeff Goldblum, qui interprète l'excellent, cynique et nécessaire, Dr Ian Malcolm, ne soit pas plus important. Ses répliques et son style décalé sont très drôles et il est celui qui conteste sans se laisser influencer par ce qu'il voit. Il fait appel à la logique et au raisonnement pour ramener à la réalité toute l'équipe.
Je vous le confirme revoir 'Jurassic Park' sur grand écran est toujours une expérience merveilleuse. Merci Monsieur Spielberg!
Notes de production
(Elles sont là pour répondre à vos questions sur la reconversion du film en 3D)
Retour à
JURASSIC PARK
Pour fêter
le vingtième anniversaire d'un des succès les plus durables d'Universal
Pictures, le studio a décidé de ressortir le film culte de Steven Spielberg en
3D et avec une définition d'image numérique 4K sur les écrans du monde entier. Pour les cinéastes, l'évolution des
technologies a changé la manière de raconter les histoires, et la 3D va
aujourd'hui permettre de faire entrer les spectateurs au coeur de l'univers que
Steven Spielberg a imaginé en 1993. Cette prouesse technique va ainsi offrir
aux fans du film un voyage aussi nostalgique que surprenant, et donner à un
nouveau public la chance de faire une virée inattendue en compagnie des
saisissantes créations de Stan Winston (créateur des dinosaures) et
d'Industrial Light and Magic (ILM).
Même si
toute une génération a tremblé dans son salon en regardant Lex (Ariana
Richards) et Tim (Joseph Mazzello) défier les effrayants vélociraptors, et
s'est ébahie avec les docteurs Ellie Sattler (Laura Dern) et Alan Grant (Sam
Neill) à la découverte d'un gracieux troupeau de brachiosaures, ces
téléspectateurs n'ont pas pu totalement s'immerger dans d'univers visuel et
sonore de l'Île Nublar telle que Michael Crichton (auteur du roman et
scénariste) et David Koepp (scénariste) l’avaient rêvée. Et ce jusqu'à
aujourd'hui. Avec un souci commun de
faire perdurer l'émerveillement que suscite JURASSIC PARK, l'équipe s'est posé
la question : quelles sensations provoque ce film quand on est assis au beau
milieu d'une salle de cinéma ? Le but avoué n'est pas d'attirer l'attention du
public sur la 3D mais de lui faire vivre une expérience sensorielle, visuelle
et auditive unique. Collaborant avec
Stereo D, l'équipe responsable de la conversion en 3D de TITANIC (James
Cameron, 1997/2012), Steven Spielberg a passé son film en revue plan par plan
pour déterminer la meilleure façon de le retravailler et de développer son
impact grâce à la 3D. Quand vous entendrez les pas du T. rex et verrez le verre
d'eau trembler, quand l'oeuf de vélociraptor éclora et que le bébé bondira avec
l'Explorer à l'extérieur de l'enclos, vous aurez l'impression d'entrer dans
JURASSIC PARK pour la toute première fois.
En espérant
que les spectateurs prendront autant de plaisir à voir JURASSIC PARK en 3D que
l'équipe de plus de 700 techniciens a pris à méticuleusement le reformater, que
l'éblouissante musique de John Williams les ramènera là où tout a commencé et
qu'ils partageront avec ces aventuriers et ces paléontologues l'émerveillement
de découvrir la Terre peuplée de dinosaures.
LA
CONVERSION EN 3D
À l'époque
du tournage de JURASSIC PARK, les comédiens et les techniciens eurent la chance
de pouvoir s'inspirer d'une impressionnante toile de fond en 3D, représentant
les dinosaures créés par Stan Winston, qui les entouraient sur le plateau.
Grâce au perfectionnement des images de synthèse d'ILM et à la force dramatique
de l'histoire, JURASSIC PARK se prêtait tout naturellement à la conversion en
3D. Qu'il s'agisse de séquences d'action
pure, telles que le combat entre le vélociraptor et le T. rex, ou d'une
discussion paisible entre le Dr Sattler et John Hammond (Richard Attenborough)
sur les ramifications de son projet, Steven Spielberg a toujours filmé avec un
regard multidimensionnel et ses choix initiaux se sont avérés d'une grande aide
pour la conversion du film en images stéréoscopiques 3D par l'équipe de Stereo
D.
Il a fallu
plus de 700 artistes et techniciens pour isoler chaque détail composant chaque
image, y ajouter de la profondeur de champ et redimensionner le tout en 3D.
Mais que les puristes n'aient aucune inquiétude, durant le processus de
conversion, le réalisateur a pris soin de ne pas trop modifier les scènes
originales et de ne pas exagérer les effets sonores, le but étant une
amélioration subtile et méticuleuse du format. Que Spielberg décide d'ajouter
de la pluie au premier plan lors de la première apparition du T. rex ou des
éclats d'écorce giclant dans les yeux des spectateurs quand l'Explorer dévale
le long d'un arbre, son objectif était d'attirer l'attention sur ce qui se
passe devant et derrière la caméra. Il a
fallu 9 mois pour convertir le film en 3D. Après tout un travail de repérage,
les équipes de rotoscopie et de profondeur de champ de Stereo D ont décomposé
chaque photogramme grâce à leur programme VDX, et besoin étant, l'équipe des
effets visuels a augmenté la 3D sur des éléments tels que la fumée, les
étincelles, la pluie ou d'autres types de particules. Enfin, l'équipe de
peinture a parfait chaque image en complétant les données manquantes révélées
par le passage en 3D.
Avec les
films tournés actuellement, le processus de conversion a lieu en parallèle de
la production, Stereo D recevant les éléments au fur et à mesure, mais pour un
film comme JURASSIC PARK, le temps de conversion dépend d'autres facteurs : la
durée du film, l'état du négatif original et les difficultés propres à chaque
plan et chaque image. La pluie ou les
feuilles d'une forêt font partie des éléments naturels les plus délicats à
recréer au cours d'une conversion en 3D, et à ce titre, JURASSIC PARK
représentait un important défi. Plus de gouttes de pluie furent converties pour
ce film qu'il n'en a jamais été créées en 3D pour un autre film, garantissant
une immersion totale du public dans ce parc à thème si singulier.
L'ajout de
perspectives à tous les niveaux de profondeur permet, par exemple, de donner
aux spectateurs l'impression d'être dans la voiture avec Tim et Lex quand le T.
rex les attaque. La 3D accentue la taille des dinosaures qui semblent soudain
comme à porter de main.
L'immersion du
public dans JURASSIC PARK est aussi importante au niveau sonore que visuel. Les
pas du T. rex s'élançant en direction des spectateurs en 3D se devaient
naturellement d'être plus retentissants qu'en 2D. L'équipe du design sonore a
donc profité des avancées technologiques du cinéma moderne pour donner plus de
relief et de dynamisme à la bande son. Le triste mugissement des brachiosaures
n'a jamais été si beau, et les rugissements du T. rex en colère n'ont jamais
été si terrifiants. Pour le cri original du T. rex, le designer sonore était
parti de ceux d'un bébé éléphant. Coupés, collés, joués à l'envers et étirés,
ces sons faisaient partie intégrante de la "voix" du dinosaure
principal. Pour projeter les spectateurs au coeur de ces scènes en 3D, les sons
se sont eux aussi rapprochés.
Mais
remontons maintenant le temps jusqu'au moment où tout a commencé.
Souvenez-vous...
Autre post du blog lié à 'Jurassic Park 3D' : http://minu.me/8ukz
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